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Grande vallée façonnée par l’Oued portant le même nom, la Saoura est l’une des régions les plus attrayantes du sud algérien. Elle est limitée au Nord par les Monts des Ksour et le Haut Atlas marocain, à l’ouest par la Hamada du Draa, à l’est par les oasis du Tidikelt et au sud par le plateau du Tanezrouft. Un décor fait de paysages lunaires de la Hamada du Guir contrastés à l’autre rive par les splendides dunes dorées du grand Erg Occidental. Entre ces deux ensembles féeriques s’incrustent, tels les joyaux d’un collier, palmeraies et ksour le long du lit des Oueds.

 

  

 

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12 novembre 2008 3 12 /11 /novembre /2008 19:40

Le public béchari était au rendez-vous, mardi dernier, pour assister aux différents spectacles produits par les artistes de la wilaya de Aïn-Témouchent dans le cadre de leur semaine culturelle à travers la Saoura.

Pour le premier spectacle qui a eu lieu au niveau de la Salle de spectacles de la Maison de la Culture, c’est à l’association théâtrale «El Anwar» de Hammam Bouhadjar qui a eu la primauté pour inaugurer le programme des activités artistiques en représentant une pièce intitulée «Doumou’ El Fedjr» (Les larmes de l’aube).
Une œuvre écrite par Moulay Meliani Mohamed et la réalisation de Moulay Meliani Sofiane.
Quatre comédiens campent les rôles avec beaucoup de maîtrise. Ils ont essayé, durant une heure, de faire vivre au public, l’histoire d’un éboueur qui exerce son noble travail avec abnégation et sérieux. Sachant que cette profession est souvent mal considérée par les sottes gens puisqu’il n’y a pas de sots métiers. Dans la pièce, l’éboueur refuse les responsabilités syndicales et professionnelles et désire travailler sans problème et vivre modestement dans une société pleine de contradictions.
Cette histoire se déroule dans un atelier des Beaux-Arts, occupé par des artistes qui ont monté une grande statue représentant une figure bourrée de qualité. Mais malheureusement, ces artistes n’ont pas réussi à représenter, à travers cette œuvre, la grandeur de cet éboueur.
Voilà pour la pièce théâtrale. Pour le registre du rythme et la mélodie, les jeunes élèves du centre de formation professionnelle ont pu suivre avec beaucoup de joie dans l’enceinte de leur établissement, une soirée musicale très animée.
D’abord par la troupe musicale conduite par le chef d’orchestre Bendriss Abdellah, ensuite par les troupes folkloriques de Touat et Gnawa (Blel Bouhadjar). Les élèves du centre n’ont pas été avares d’éloges: «Nous avons passé d’agréables moments.
Nous avons chanté et dansé. C’est très bien de recevoir régulièrement des troupes musicales et folkloriques de ce niveau». De plus, certains trouvent beaucoup de similitudes entre les genres musicaux de Aïn-Témouchent et ceux de Béchar. En matière de conférences, une table ronde a été consacrée aux médias locaux pour faire connaître certaines facettes de la quotidienneté témouchentoise. Mais peu d’intellectuels se sont vraiment intéressés à cette manifestation académique.
 
Source: S. Djelloul, La Voix de l'Oranie.
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