BÉCHAR ET LA RÉGION DE LA SAOURA
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Béchar, ville du sud-ouest algérien, capitale de la région de la Saoura, une région féerique du grand
sud algérien à découvrir absolument !
Répondant à une question de la Voix de L’Oranie, le Dr Nafes Timsiline reconnaît qu’il est déjà difficile au malade ou à ses proches de faire établir la responsabilité du médecin, en cas de faute grave et encore moins de demander réparation judiciaire, en cas d’infection ou de maladie nosocomiale contractée en milieu hospitalier.
C’est sous le patronage du wali de Béchar, que le Conseil régional de déontologie médicale a organisé, mercredi dernier, en collaboration avec la DSP, la 1ère journée nationale de déontologie médicale du Sud-ouest. Journée qui s’est déroulée au centre de formation paramédicale et à laquelle ont pris part des médecins venus des villes d’Adrar, Béchar, El-Bayadh, Naâma et Tindouf, ainsi que des avocats du barreau. Les président et vices-présidents du Conseil national de l’ordre des médecins, n’ont pu participer à cette journée, à cause d’un vol d’Air Algérie annulé à la dernière minute. Cet empêchement s’est fâcheusement répercuté sur le programme qui prévoyait une intervention du Pr Ayadi Abdelaziz sur «Les activités déontologiques», exposées lors du Forum euro méditerranéen - Union des médecins arabes. La première intervention de la matinée avait pour thèmes «Les aspects médico-légaux de la mort» et «Les certificats médicaux», présentés par le Dr Benzerga Houari, médecin-légiste du secteur de la Santé de Béchar. Elle a été suivie par l’intervention de Mme le juge Hamoudi Yasmina, sur la définition de «L’erreur médicale et la responsabilité pénale», et sur l’opportunité de juger un praticien sur les erreurs, qu’il aurait commises? Le Dr Nafes Timsiline en tant qu’ancien praticien, a axé son intervention sur «Les aspects médico-légaux des infections nosocomiales». Selon lui, dans le domaine de la santé, le risque 0 n’existant pas, il faudrait quantifier ce risque. Il a rappelé que même les infections survenant 30 jours après l’opération, sont habituellement associées aux soins. «Il faudrait, a-t-il ajouté, diagnostiquer ce qui est nosocomial, de ce qui ne l’est pas.» Selon lui, le code pénal ne définit pas la responsabilité du médecin, en cas de mort d’homme. Enfin, le même texte de loi sert à condamner et le médecin fautif et le conducteur de véhicule ayant causé un accident de la route. Et le Dr Timsiline de conclure par: «La qualité des soins, vient quand on s’en occupe, mais la mauvaise qualité vient... toute seule». Cela veut-il dire, que la notion de qualité n’est pas perçue de la même façon au sein de cette honorable corporation?...
Source : M. Ahmed, La Voix de l'Oranie.
Sous le haut patronage de la ministre de la Culture, la direction de la santé a organisé trois journées d’étude sur les ksours et leurs patrimoines du 8 au 10 avril courant, la programmation qui était prévue le 7 avril, a eu le 8.
La cérémonie de l’ouverture s’est déroulée en présence du secrétaire général de la wilaya et la délégation ainsi que la représentante du ministère de la Culture Mlle Cherbali Nabila.
Dans cette deuxième édition sur la culture des ksours, des collaborateurs ont participé à cette occasion telles que les entreprises publiques, la chambre du commerce et de l’industrie, la radio locale et la télévision de Béchar pour donner plus de dynamisme et l’impact médiatique au niveau national et international. En outre, d’autres organismes privés à savoir, entreprise Baali, Sari-el-Janoub (express- -sud), Milase Equipement et le complexe touristique Belagraa ont participé pour valoriser ces structures en mode de promotion sur le tourisme saharien qui n’a pas donné d’écho immédiat après son déroulement à Taghit. Néanmoins, des associations féminines aux stands d’exposition de leurs produits faisaient attirance des visiteurs qui ont bien apprécié cette production vestimentaire traditionnelle pour hommes et femmes à la maison de la culture. D’autres femmes exposent de très jolis objets traditionnels surtouts des argenteries qui ont servi durant un siècle qui sont rentrés dans l’histoire de la vie bédouines dans le Sahara. A chaque évènement culturel, Mme Nigoussi Amina, propriétaire, présente son musée très riche et diversifié. Les objets de ce musée ressemblent à ceux de la caverne d’Ali Baba. Plusieurs choses, des tapis, des chaussures en cuir qui datent de 100 ans, des moulins manuels rotatifs fabriqués en granulé de petites pierres sous forme de cône tronqué, marmite lourde et ustensiles de cuisine en bois, literie traditionnelle, tente, des couffins et des paniers en feuille de palmier, quinquets, des serviettes très anciennes, des roses de sable. Toutes ces richesses patrimoniales n’ont pas fait appel à leur valorisation en matière touristique.
Alors, les générations qui ont confectionné ces outils et quincaillerie arabe pour subvenir à leur quotidien. Il ne reste que des vestiges qu’on les appelle certainement ksour d’où l’anthropologie les a oubliés et l’histoire suit le chemin par des architectes chercheurs pour protéger le reste et le mettre en valeur ses sites. Les ksours sont généralement en forme compact de couleur de terre entourés d’une enceinte ou rempart appelé sour (mur) et des venelles ( zqaq )qui finissent en impasse qui est relativement lié à une palmeraie. En effet, des conférenciers intervenant sur des thèmes différents dans la majorité des ksours du pays pour des réhabilitations par des vidéos et des projections sur les formes architecturales et typologique des ksours et ses stratégies, vernaculaires.
Source: M. Smail, La Nouvelle Republique.
Sous le haut patronage de la ministre de la Culture, la direction de la santé a organisé trois journées d’étude sur les ksours et leurs patrimoines du 8 au 10 avril courant, la programmation qui était prévue le 7 avril, a eu le 8.
La cérémonie de l’ouverture s’est déroulée en présence du secrétaire général de la wilaya et la délégation ainsi que la représentante du ministère de la Culture Mlle Cherbali Nabila.
Dans cette deuxième édition sur la culture des ksours, des collaborateurs ont participé à cette occasion telles que les entreprises publiques, la chambre du commerce et de l’industrie, la radio locale et la télévision de Béchar pour donner plus de dynamisme et l’impact médiatique au niveau national et international. En outre, d’autres organismes privés à savoir, entreprise Baali, Sari-el-Janoub (express- -sud), Milase Equipement et le complexe touristique Belagraa ont participé pour valoriser ces structures en mode de promotion sur le tourisme saharien qui n’a pas donné d’écho immédiat après son déroulement à Taghit. Néanmoins, des associations féminines aux stands d’exposition de leurs produits faisaient attirance des visiteurs qui ont bien apprécié cette production vestimentaire traditionnelle pour hommes et femmes à la maison de la culture. D’autres femmes exposent de très jolis objets traditionnels surtouts des argenteries qui ont servi durant un siècle qui sont rentrés dans l’histoire de la vie bédouines dans le Sahara. A chaque évènement culturel, Mme Nigoussi Amina, propriétaire, présente son musée très riche et diversifié. Les objets de ce musée ressemblent à ceux de la caverne d’Ali Baba. Plusieurs choses, des tapis, des chaussures en cuir qui datent de 100 ans, des moulins manuels rotatifs fabriqués en granulé de petites pierres sous forme de cône tronqué, marmite lourde et ustensiles de cuisine en bois, literie traditionnelle, tente, des couffins et des paniers en feuille de palmier, quinquets, des serviettes très anciennes, des roses de sable. Toutes ces richesses patrimoniales n’ont pas fait appel à leur valorisation en matière touristique.
Alors, les générations qui ont confectionné ces outils et quincaillerie arabe pour subvenir à leur quotidien. Il ne reste que des vestiges qu’on les appelle certainement ksour d’où l’anthropologie les a oubliés et l’histoire suit le chemin par des architectes chercheurs pour protéger le reste et le mettre en valeur ses sites. Les ksours sont généralement en forme compact de couleur de terre entourés d’une enceinte ou rempart appelé sour (mur) et des venelles ( zqaq )qui finissent en impasse qui est relativement lié à une palmeraie. En effet, des conférenciers intervenant sur des thèmes différents dans la majorité des ksours du pays pour des réhabilitations par des vidéos et des projections sur les formes architecturales et typologique des ksours et ses stratégies, vernaculaires.
Source: M. Smaïl, La Nouvelle République.