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Grande vallée façonnée par l’Oued portant le même nom, la Saoura est l’une des régions les plus attrayantes du sud algérien. Elle est limitée au Nord par les Monts des Ksour et le Haut Atlas marocain, à l’ouest par la Hamada du Draa, à l’est par les oasis du Tidikelt et au sud par le plateau du Tanezrouft. Un décor fait de paysages lunaires de la Hamada du Guir contrastés à l’autre rive par les splendides dunes dorées du grand Erg Occidental. Entre ces deux ensembles féeriques s’incrustent, tels les joyaux d’un collier, palmeraies et ksour le long du lit des Oueds.

 

  

 

Archives

16 avril 2008 3 16 /04 /avril /2008 08:03
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13 avril 2008 7 13 /04 /avril /2008 09:06

Répondant à une question de la Voix de L’Oranie, le Dr Nafes Timsiline reconnaît qu’il est déjà difficile au malade ou à ses proches de faire établir la responsabilité du médecin, en cas de faute grave et encore moins de demander réparation judiciaire, en cas d’infection ou de maladie nosocomiale contractée en milieu hospitalier.


C’est sous le patronage du wali de Béchar, que le Conseil régional de déontologie médicale a organisé, mercredi dernier, en collaboration avec la DSP, la 1ère journée nationale de déontologie médicale du Sud-ouest. Journée qui s’est déroulée au centre de formation paramédicale et à laquelle ont pris part des médecins venus des villes d’Adrar, Béchar, El-Bayadh, Naâma et Tindouf, ainsi que des avocats du barreau. Les président et vices-présidents du Conseil national de l’ordre des médecins, n’ont pu participer à cette journée, à cause d’un vol d’Air Algérie annulé à la dernière minute. Cet empêchement s’est fâcheusement répercuté sur le programme qui prévoyait une intervention du Pr Ayadi Abdelaziz sur «Les activités déontologiques», exposées lors du Forum euro méditerranéen - Union des médecins arabes. La première intervention de la matinée avait pour thèmes «Les aspects médico-légaux de la mort» et «Les certificats médicaux», présentés par le Dr Benzerga Houari, médecin-légiste du secteur de la Santé de Béchar. Elle a été suivie par l’intervention de Mme le juge Hamoudi Yasmina, sur la définition de «L’erreur médicale et la responsabilité pénale», et sur l’opportunité de juger un praticien sur les erreurs, qu’il aurait commises? Le Dr Nafes Timsiline en tant qu’ancien praticien, a axé son intervention sur «Les aspects médico-légaux des infections nosocomiales». Selon lui, dans le domaine de la santé, le risque 0 n’existant pas, il faudrait quantifier ce risque. Il a rappelé que même les infections survenant 30 jours après l’opération, sont habituellement associées aux soins. «Il faudrait, a-t-il ajouté, diagnostiquer ce qui est nosocomial, de ce qui ne l’est pas.» Selon lui, le code pénal ne définit pas la responsabilité du médecin, en cas de mort d’homme. Enfin, le même texte de loi sert à condamner et le médecin fautif et le conducteur de véhicule ayant causé un accident de la route. Et le Dr Timsiline de conclure par: «La qualité des soins, vient quand on s’en occupe, mais la mauvaise qualité vient... toute seule». Cela veut-il dire, que la notion de qualité n’est pas perçue de la même façon au sein de cette honorable corporation?...

Source : M. Ahmed, La Voix de l'Oranie.

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11 avril 2008 5 11 /04 /avril /2008 08:13

A l'entrée de la ville de Kenadsa.
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10 avril 2008 4 10 /04 /avril /2008 18:26

Sous le haut patronage de la ministre de la Culture, la direction de la santé a organisé trois journées d’étude sur les ksours et leurs patrimoines du 8 au 10 avril courant, la programmation qui était prévue le 7 avril, a eu le 8.
La cérémonie de l’ouverture s’est déroulée en présence du secrétaire général de la wilaya et la délégation ainsi que la représentante  du ministère de la Culture Mlle Cherbali Nabila.
Dans cette deuxième édition sur la culture des ksours, des collaborateurs ont participé à cette occasion telles que les entreprises publiques, la chambre du commerce et de l’industrie, la radio locale  et la télévision de Béchar pour donner plus de dynamisme et l’impact médiatique au niveau national et international. En outre, d’autres organismes privés à savoir, entreprise Baali,  Sari-el-Janoub (express- -sud), Milase Equipement et le complexe touristique Belagraa ont participé pour valoriser ces structures en mode de promotion sur le tourisme saharien qui n’a pas donné d’écho immédiat  après son déroulement à Taghit. Néanmoins, des associations féminines aux stands d’exposition de leurs produits faisaient attirance des visiteurs qui ont bien apprécié cette production vestimentaire traditionnelle pour hommes et femmes à la maison de la culture. D’autres femmes exposent de très jolis objets traditionnels surtouts des argenteries qui ont servi durant un siècle qui sont rentrés dans l’histoire de la vie bédouines dans le Sahara. A chaque évènement culturel, Mme Nigoussi Amina, propriétaire, présente son musée très riche et diversifié. Les objets de ce musée  ressemblent à ceux de la caverne  d’Ali Baba. Plusieurs choses, des tapis, des chaussures en cuir qui datent de 100 ans, des moulins manuels rotatifs fabriqués en granulé de petites pierres sous forme de cône tronqué, marmite lourde et ustensiles de cuisine en bois,  literie traditionnelle, tente, des couffins et des paniers en feuille de palmier, quinquets, des serviettes très anciennes, des roses de sable. Toutes ces richesses patrimoniales n’ont pas fait appel à leur valorisation en matière touristique.
Alors, les générations qui ont confectionné ces outils et quincaillerie arabe pour subvenir à leur quotidien. Il ne reste que des vestiges qu’on les appelle certainement ksour d’où l’anthropologie les a oubliés et l’histoire suit le chemin par des architectes chercheurs pour protéger le reste et le mettre en valeur ses sites. Les ksours sont généralement en forme compact de couleur de terre entourés d’une enceinte ou rempart appelé sour (mur) et des venelles ( zqaq )qui finissent en impasse qui est relativement lié à une palmeraie. En effet, des conférenciers intervenant sur des thèmes différents dans la majorité des ksours du pays pour des réhabilitations par des vidéos et des projections sur les formes architecturales et typologique des ksours et ses stratégies, vernaculaires. 

Source: M. Smail,  La Nouvelle Republique.

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10 avril 2008 4 10 /04 /avril /2008 16:19

Sous le haut patronage de la ministre de la Culture, la direction de la santé a organisé trois journées d’étude sur les ksours et leurs patrimoines du 8 au 10 avril courant, la programmation qui était prévue le 7 avril, a eu le 8.
La cérémonie de l’ouverture s’est déroulée en présence du secrétaire général de la wilaya et la délégation ainsi que la représentante  du ministère de la Culture Mlle Cherbali Nabila.
Dans cette deuxième édition sur la culture des ksours, des collaborateurs ont participé à cette occasion telles que les entreprises publiques, la chambre du commerce et de l’industrie, la radio locale  et la télévision de Béchar pour donner plus de dynamisme et l’impact médiatique au niveau national et international. En outre, d’autres organismes privés à savoir, entreprise Baali,  Sari-el-Janoub (express- -sud), Milase Equipement et le complexe touristique Belagraa ont participé pour valoriser ces structures en mode de promotion sur le tourisme saharien qui n’a pas donné d’écho immédiat  après son déroulement à Taghit. Néanmoins, des associations féminines aux stands d’exposition de leurs produits faisaient attirance des visiteurs qui ont bien apprécié cette production vestimentaire traditionnelle pour hommes et femmes à la maison de la culture. D’autres femmes exposent de très jolis objets traditionnels surtouts des argenteries qui ont servi durant un siècle qui sont rentrés dans l’histoire de la vie bédouines dans le Sahara. A chaque évènement culturel, Mme Nigoussi Amina, propriétaire, présente son musée très riche et diversifié. Les objets de ce musée  ressemblent à ceux de la caverne  d’Ali Baba. Plusieurs choses, des tapis, des chaussures en cuir qui datent de 100 ans, des moulins manuels rotatifs fabriqués en granulé de petites pierres sous forme de cône tronqué, marmite lourde et ustensiles de cuisine en bois,  literie traditionnelle, tente, des couffins et des paniers en feuille de palmier, quinquets, des serviettes très anciennes, des roses de sable. Toutes ces richesses patrimoniales n’ont pas fait appel à leur valorisation en matière touristique.
Alors, les générations qui ont confectionné ces outils et quincaillerie arabe pour subvenir à leur quotidien. Il ne reste que des vestiges qu’on les appelle certainement ksour d’où l’anthropologie les a oubliés et l’histoire suit le chemin par des architectes chercheurs pour protéger le reste et le mettre en valeur ses sites. Les ksours sont généralement en forme compact de couleur de terre entourés d’une enceinte ou rempart appelé sour (mur) et des venelles ( zqaq )qui finissent en impasse qui est relativement lié à une palmeraie. En effet, des conférenciers intervenant sur des thèmes différents dans la majorité des ksours du pays pour des réhabilitations par des vidéos et des projections sur les formes architecturales et typologique des ksours et ses stratégies, vernaculaires. 

Source: M. Smaïl, La Nouvelle République.

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9 avril 2008 3 09 /04 /avril /2008 20:17
Des travaux de réfection du marché central des fruits et légumes sont en cours depuis quelques jours, pour une durée de deux mois. Les travaux entamés au niveau de ce vieux marché, géré par la commune et qui a ouvert ses portes en 1958, toucheront essentiellement le revêtement des couloirs, le système électrique, le réseau d'assainissement et le ravalement de la bâtisse. Les clients du marché central se sont repliés temporairement sur le deuxième marché, dit Bouhlal, qui se trouve à proximité et qui connaît néanmoins une très forte concentration d'acheteurs et où l'on observe des hausses injustifiées des prix des produits de large consommation.

Source : M. N., El Watan.

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9 avril 2008 3 09 /04 /avril /2008 08:25
La distance entre Béchar et la capitale semble se rapprocher, au regard de l’importance accordée au premier Salon de l’automobile qui se tiendra du 21 avril au 1er mai au site Amirato de Debdaba, situé au chef-lieu de la wilaya de Béchar.
Un événement largement commenté par les Bécharis qui voient, à travers l’initiative de RH. International Communication, organisatrice de cette manifestation, un rassemblement mais aussi un rapprochement des concessionnaires auto du grand public du Sud. Un rapprochement qui donnera lieu à une communication directe et à un enseignement sur les nouvelles technologies développées jusque-là et ayant un rapport direct avec la qualité, le confort et la sécurité. Il y a, bien entendu, l’autre aspect qui sera au cœur de l’événement : la lutte contre la contrefaçon et les accidents de la circulation.
En effet, “un véhicule neuf est une garantie au démarrage, mais il faut y songer”, dira un citoyen de la pièce de rechange. “Souvent, nous sommes confrontés à ce phénomène que l’on qualifiera de mortel, puisque une pièce contrefaite est un danger permanent pour le conducteur”, ajoutera-t-il.
Béchar ouvre donc ses portes à un salon automobile, une wilaya où il est enregistré, selon les statistiques communiquées par l’ONS au 31 décembre 2007, un parc auto de 19 457 véhicules et un nombre de 108 auto-écoles pour un nombre de 58 moniteurs agréés.
Cette question sera mise en débat lors des journées professionnelles qui seront animées par les cadres des ministères des Transports et du Commerce  La particularité de cette manifestation réside dans l’intervention des autorités de wilaya qui veulen faire de cette première édition, un carrefour économique et, à la fois, une des plus belles réussites. “C’est déjà un pas vers la réussite, et deux fois pas an, nous reviendrons pour organiser le salon de l’automobile et le salon du véhicule industriel. Nous organiserons aussi d’autres salons, celui de la téléphonie, du médical, des collectivités locales et du tourisme. D’autres thèmes occuperont également le terrain”, dira le directeur de RH. International Communication.  Les concessionnaires sont très nombreux à participer.  On parle de Diamal, Peugeot, (avec les dernières acquisitions), Famoval, Toyota, BS Distribution, Fiat, Bougie Auto (4x4), Elsecom, Faw et Maruti), GMC, CMT de Constantine et bien d’autres…

Source: R. Roukbi, Liberté.
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8 avril 2008 2 08 /04 /avril /2008 19:33
L'aérodrome de Beni-Abbes, dont les travaux de  réhabilitation sont en cours de réalisation, sera livré avant la fin 2008, annonce-t-on  à la direction des travaux publics de la wilaya de Bechar. Les travaux, lancés début 2008 dans le cadre du développement des infrastructures  aéroportuaires, pour une enveloppe financière estimée à 400 millions de dinars,  portent notamment sur le confortement de la piste sur 3000 mètres.
Une fois réceptionné, cet aéroport, situé à 264 kilomètres au sud de  Bechar, sera "d'un grand apport pour le développement et le renforcement des  activités touristiques dans cette région" du sud-ouest du pays, qui recèle d'importants  sites et espaces historiques et naturels, souligne-t-on de même source.
Situé à proximité des chef-lieux de daïras de "El Ouata", "Ouled Khodeir",  "Igli" et "Kerzaz", cette infrastructure aéroportuaire constitue également un  atout pour le développement local économique et social, signale-t-on à la wilaya  de Bechar, soulignant, à ce titre, que la région de Beni Abbes est considérée  par de nombreuses études comme le second pôle d’activité de la Saoura. A noter, selon la même source, que les travaux en cours pour le confortement  et le renforcement de la piste secondaire de l’aéroport "Lotfi" de Bechar, pour  un coût global de 1 milliard de dinars, seront également achevés avant la fin  de l’année en cours.

Source : El Moujahid.
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6 avril 2008 7 06 /04 /avril /2008 10:53
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6 avril 2008 7 06 /04 /avril /2008 10:01
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