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Grande vallée façonnée par l’Oued portant le même nom, la Saoura est l’une des régions les plus attrayantes du sud algérien. Elle est limitée au Nord par les Monts des Ksour et le Haut Atlas marocain, à l’ouest par la Hamada du Draa, à l’est par les oasis du Tidikelt et au sud par le plateau du Tanezrouft. Un décor fait de paysages lunaires de la Hamada du Guir contrastés à l’autre rive par les splendides dunes dorées du grand Erg Occidental. Entre ces deux ensembles féeriques s’incrustent, tels les joyaux d’un collier, palmeraies et ksour le long du lit des Oueds.

 

  

 

Archives

7 juin 2009 7 07 /06 /juin /2009 20:00
Le tissu économique productif de la wilaya vient de se renforcer avec l'inauguration cette fin de semaine par le wali de Béchar, en présence des autorités locales et du président de la confédération des patronats M. Merakach, de l'unité de production d'eau minérale dans la localité de Mogheul, commune distante de cinquante km de Béchar. Cet investissement privé, qui a coûté la bagatelle de trois cent vingt millions de dinars, a été financé par un crédit de la BEA ; quant à la couverture financière du volet exploitation de cette unité, la BNA, dira son directeur, prendra en charge le financement. La production en eau minérale de l'usine est de l'ordre de 12.000 bouteilles par heure. S'agissant de la création d'emplois, cinquante sont permanents et 250 autres seront dégagés à titre temporaire. Ces offres d'emploi viennent à point nommé pour les jeunes chômeurs de la région, dira le maire de cette collectivité. Par ailleurs, selon le wali de la wilaya, la Sonatrach lancera très prochainement la réalisation de l'importante cimenterie de Benzireg ; à cela, s'ajoute l'entrée en production de l'usine saoudienne de production de lait El Marai ; projets qui prendront en charge un nombre important de demandeurs d'emploi, en plus de la redynamisation de l'activité économique de la wilaya dont l'essor est prometteur. Le chef de l'exécutif ne cache pas sa satisfaction en signalant au passage que les 4 unités de l'ANP se trouvant le long du parcours de l'adduction d'eau potable Mogheul-Béchar sont désormais alimentées par cette eau minérale de haute qualité au même titre que les citoyens de Béchar.

Source: M. Nadjah, El Watan.
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31 mai 2009 7 31 /05 /mai /2009 21:21
Il est bien protégé en matière environnementale et représente une zone humide. Il est destiné à l'irrigation de la plaine d'Abadla, ainsi que pour l'alimentation en eau potable des habitants de la ville de Béchar et ceux de Kenadsa. Aujourd'hui, ce barrage présente une grande richesse de poissons dans le cadre de l'aquaculture. L'essentiel de cette richesse  est la carpe argentée qui pèse entre 20 et 25 kg. Les récipients pour l'insémination de ce poisson parviennent de différents pays, notamment la Hongrie. L'eau du barrage garantie une phytologie très favorable pour l'accroissement rapide de cette espèce hongroise (carpe argentée). Quant à la carpe locale, elle pèse en maturité 10 kg . Les habitants de Béchar s'intéressent à ce poisson, qui revient à bon prix. Tout le monde peut en acheter. Les intellectuels de la ville parlent de richesse en protéines, garant d’une bonne santé, notamment dans la protection de la peau contre les rayons du soleil. En Asie, et ailleurs, la carpe est très demandée dans les restaurants en raison de sa chair délicate et de son goût savoureux. Des restaurants de la localité cherchent à se spécialiser dans cet art culinaire. Il nous a été signalé par un producteur, qu'une une conserverie est nécessaire et qui sera rentable pour la région du Sud-Ouest. Beaucoup d'encre a coulé pour la valorisation de la pisciculture et de sa productivité dans les différentes localités du pays. La direction des ressources halieutiques a toujours favorisé les exploitants de cette culture qui fait partie du développement durable.
D'après le producteur Abdelkader, des propositions ont été faites que que sa marchandise soit commercialisée au niveau des entreprises. Le poisson de Djorf–Ettorba est disponible en grande quantité et d’une bonne qualité. Il est vendu dans de bonnes conditions d'hygiène, avec le contrôle d’un vétérinaire. Beaucoup de gros poissons sont stockés dans une chambre froide afin d’en préserver la chair.

Source: M. Smail, La Nouvelle République.

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25 mai 2009 1 25 /05 /mai /2009 22:04
Le quatrième prix national du meilleur joueur de Luth, prévu initialement du 6 au 8 juin prochain à Bechar, devra avoir lieu du 16 au 18 du mois, a-t-on appris samedi de l'organisateurs.
La direction de la culture de Bechar, principal organisateur, a invoqué des "raisons techniques" pour justifier ce report.
Plusieurs musiciens-joueurs de cet instrument traditionnel à la base de la musique arabe de différentes régions du pays ont confirmé leur participation à ce concours national, a indiqué la même source.
Parmi les participants, il est annoncé la présence "inédite" d'une femme à un tel rendez-vous musical, en la personne de Mlle Ounis Amal, présentée comme "une des meilleures joueuses de luth à travers le pays".
Pour cette 4eme édition, deux artistes de renommée nationale prendront également part à cette manifestation en qualité d’invités d’honneur. Il s’agit des musiciens compositeurs Rahal Zoubir et Rahou Boutlelis, qui donneront à cette occasion des récitals à la salle des spectacles de la maison de la culture.
En marge des représentations artistiques qui auront lieu à la même salle des spectacles, des expositions et communications consacrées à l’histoire du Luth et son apport à la musique sont également au menu du programme de ce prix national.
Ce concours national dont la finale et la remise des prix sont prévues le 19 juin, sera une occasion pour le public de découvrir de nouveaux talents et renouer avec les sonorités du "Oud", très présentes à Bechar, ville dont est originaire l'artiste virtuose Alla, au style original, le "Fondou".  Le premier prix de la précédente édition à été remporté par l’artiste Chétif Bachir de la ville de Laghouat, rappelle-t-on.

Source: La Nouvelle République.
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20 mai 2009 3 20 /05 /mai /2009 18:31

Un panorama du nouveau cinéma al-gérien se tient à Béchar depuis le 12 mai dernier et prendra fin demain, 21 mai. Dans le cadre de ce rendez-vous culturel important sur le cinéma algérien et avec la participation du Centre national du cinéma et de l’audio-visuel (CNCAV) en coordination avec l’association culturelle de l’audio-visuel, «Ciné-Grouz», des projections de films, de courts métrages, de téléfilms et de documentaires sont programmés à travers les placettes des communes et daïras de Béchar.


Les ciné-bus du CNCAV sillonnent les différentes localités où les projections, pour la plupart, sont faites en plein air. A Béchar et plus exactement au musée de la wilaya, les projections sont suivies de débats en présence des réalisateurs, des scénaristes et de gens du cinéma.
Les daïras et communes concernées par cette manifestation sont Béchar, Lahmar, Mougheul, Boukaïs, Kénadsa et Beni-Ounif. Au programme figurent des films tels que «Mascarades», «L’envers du miroir», «Cartouches gauloises», «Mel Ouatni» et «Indigènes».
Au palmarès des courts métrages, on retrouve les œuvres ayant participé au «Taghit d’or» qui s’organise depuis deux ans dans la wilaya à savoir, «Khti», «Houria» et «Les étrangères». Les téléfilms, au nombre de deux, sont «El Mahna» et «Les expulsés».
Les films documentaires projetés à cette occasion sont «Mémoire du 8 mai 1945», «Transporteur de rêves» et «L’épopée des tribus du sud-ouest d’Algérie».
L’amateurisme dans la préparation d’une manifestation culturelle de ce gabarit est flagrant car nous n’avons pas remarqué la présence effective d’universitaires et de lycéens, étant donné que le choix temporel coïncide avec la période des examens et compositions.
Le panorama du nouveau cinéma algérien devait cibler plus particulièrement la frange de la jeunesse pour la mettre au courant de ce qui se fait dans le domaine du septième art en Algérie.
Ceci d’un côté, et de l’autre élargir son champ culturel par ce que peut véhiculer le rôle pédagogique du cinéma, et ce par le contact avec les gens du cinéma en général et les réalisateurs et les scénaristes en particulier.

Source: M. Ahmed, La Voix de l'Oranie.
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18 mai 2009 1 18 /05 /mai /2009 18:46
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16 mai 2009 6 16 /05 /mai /2009 18:38

Des conférences suivies de débats sur des journées culturelles des ksour se sont déroulées pendant quatre jours. Elles ont été animées par des spécialistes à la maison de la culture de Bechar sous le slogan « Outils d’assurance et conservation du patrimoine culturel ».



Professeurs et chercheurs universitaires en sciences humaines, venus de Biskra, d’Oran, de Saïda, de Mascara, de Tlemcen, d’Alger et d’Adrar, ont participé à ce séminaire, assistés par des associations culturelles locales et P/APC concernés. Le Dr. Batroni Mourad, représentant le ministère de la Culture, a prononcé une allocution à l’ouverture des travaux et mis en relief la nouvelle stratégie globale arrêtée par son département tendant à préserver, à l’échelle nationale, le patrimoine matériel et immatériel de la dégradation. Pour donner un contenu concret à cette stratégie, un atelier de travail a été parallèlement créé au cours de ces assises impliquant des associations culturelles et architectes concernés par la réhabilitation des six ksour de la wilaya dont trois sont classés patrimoine national (Taghit, Béni Abbès et Kénadsa).

Selon le directeur de la culture, il s’agit d’abord de procéder à un recensement des lieux et faire une évaluation correcte des dommages subis lors des intempéries du mois d’octobre 2008, notamment dans les ksour de Béni 0unif, Mougheul et Taghit. Des travaux d’urgence doivent être entamés et soutenus par une campagne de sensibilisation en direction des associations et du mouvement associatif pour préserver à l’avenir ces endroits de multiples atteintes.

Restauration

A cet effet, une enveloppe financière de 55 000 000 de DA a été dégagée pour la restauration de ce patrimoine longtemps délaissé, souligne le responsable de la culture. Des bureaux d’étude qualifiés sont appelés à prendre en charge le projet avec la collaboration, les conseils et recommandations des personnes disposant d’une expérience pratique dans le domaine. Mais les études de réhabilitation, avertit la direction de la Culture, seront préalablement soumises au ministère pour examen et approbation, une nouvelle approche rompant avec l’ancienne ayant consisté à confier ce type de travaux spécifiques de restauration des ksour à des entrepreneurs et artisans qui se distinguaient plutôt par l’improvisation et l’inexpérience que par l’efficience technique et architecturale.

Les réhabilitations et embellissements des lieux de mémoire collective viseraient, à l’avenir, principalement les placettes, endroits et mosquées ayant une fonction sociale, culturelle et touristique.

 

Source: M. Nadjah, El Watan.

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13 mai 2009 3 13 /05 /mai /2009 18:42
Un "panorama du cinéma algérien" sera organisé  du 15 au 21 mai à Béchar, à l’initiative du ministère de la Culture, du centre  national algérien de cinématographie (CNCA), en collaboration avec l’association  locale "Ciné-Grouz", a-t-on appris hier de responsables de cette association.         
Le programme de cette manifestation qui regroupera des réalisateurs, des producteurs et des comédiens et acteurs, prévoit des projections en plein  air, par les ciné-bus du CNCA, d’une douzaine de longs et courts métrages, et  de films documentaires de production nationale à travers les différents quartiers  de la ville de Bechar et des communes de Kenadza, Mougheul et Lahmar.  Ces journées cinématographiques ont pour objectif de faire connaître  au large public les nouvelles productions dans le 7 eme art et les aspects liés  à l'évolution du comédien en Algérie, ont indiqué les organisateurs.  Un cycle de conférences-débats sur les réalités et les perspectives du développement du cinéma national est également au menu de cette manifestation  dont l’organisation s’inscrit dans le cadre de la promotion des activités cinématographiques  à travers le pays, ont-ils ajouté.

Source: El Moujahid.
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8 mai 2009 5 08 /05 /mai /2009 21:10
Le tomber de rideau sur la 3e édition du Festival national de la musique Diwane a eu lieu jeudi dernier, au stade En Nasr de Béchar face à un public nombreux et conquis.

La cérémonie de clôture qui a vu la présence du wali de Béchar, Azzedine Mechri, et un représentant du représentant du ministère de la Culture, a été animée par le groupe Ouled Hadja Meghnia, et El Hadj Brahim, un artiste très connu dans la région. Depuis que Lotfi (Double Kanon) s’est produit à Béchar dans le cadre de ce festival, la foule a été au rendez-vous : ils étaient des milliers à affluer pour se défouler et danser sur les rythmes gnawa, mais également rap, et quelque peu mystiques sur les airs du mandole blanc de Mohamed Rouane.
Par ailleurs, notons qu’une vingtaine de troupes qui activent dans le genre gnaoui et/ou Diwane, ont pris part à cette 3e édition.
À la fin de la compétition, neuf lauréats des trois éditions ont été sélectionnés pour participer au Festival culturel panafricain, prévu du 5 au 20 juillet prochain, à Alger. De plus, des chercheurs du Crasc d’Oran et des universitaires ont animé un certain nombre de conférences-débats autour de la musique Diwane.
Le Festival clos ses portes mais on retiendra la bonne organisation et la forte présence du public qui s’est déchaîné sur les rythmes entraînants de cette musique ancestrale.

Source: R. Roukbi, Liberté.
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6 mai 2009 3 06 /05 /mai /2009 21:13
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5 mai 2009 2 05 /05 /mai /2009 21:25

La 3e édition du Festival Diwane de Béchar, et c’est désormais la nouvelle appellation choisie pour remplacer celle de Gnaoui programmée du 1er au 6 mai, a été inaugurée vendredi dans la soirée par les autorités locales qui ont donné le coup d’envoi à cette manifestation culturelle au grand stade Nasr en présence d’un cadre représentant le ministère de la Culture.


Quatre troupes musicales de Mécheria, Dendoune de Ghardaïa, Bilalia de Témouchent et Noujoum Saoura se sont produites sur scène au cours de cette première soirée. La faible affluence du public, le premier jour, a laissé penser un moment à une indifférence, voire une désaffection des gens pour ce genre de musique. Mais non ! Samedi, la foule habituelle que l’on attendait était au rendez-vous pour assister au magnifique spectacle de Lotfi Double Kanon. Combien étaient-ils ? Mille, deux mille ? Difficile d’évaluer leur nombre car les spectateurs se confondaient entre ceux qui assistaient assis par terre et les autres qui dansaient sur les gradins. Le chanteur attendu, adulé par les jeunes venus de plusieurs quartiers et qui se sont défoulés dès sa première sortie, a failli provoquer une hystérie collective, tellement la complicité était de mise entre lui et ses fans galvanisés qui se balançaient au rythme de la musique de leur idole. « Ici, vous n’avez pas la mer et je dédie mon spectacle aux harraga du nord qui meurent en plein océan », a-t-il martelé, accentuant encore la galvanisation des jeunes par des cris tonitruants. Un véritable régal pour ses spectateurs composés de jeunes déchaînés et frustrés de défoulement tout le long de l’année. Les fans du chanteur ont, un moment, empêché l’artiste de se frayer un chemin pour quitter l’ancien stade de football à la fin de son concert. Il faut avouer que les échos du son des instruments de musique des troupes résonnent à travers la ville endormie dans la fraîcheur des soirées de ce début de mai jusqu’aux banlieues. Les spectacles commencent à partir de 22 h et se terminent à 1 h du matin. Pour rappel, une vingtaine de troupes musicales, venues des régions de l’Est, du Centre et de l’Ouest, sont invitées au Festival Diwane. Dix-sept d’entres elles sont programmées pour une compétition, à l’issue de laquelle neuf lauréats des trois éditions devront être sélectionnés et retenus pour participer au Festival panafricain qui se tiendra à Alger au mois de juillet prochain. A noter aussi qu’en marge de la manifestation artistique, la Maison de la culture de Béchar organise, parallèlement dans les matinées, des conférences animées par des professeurs universitaires en rapport avec la musique Diwane. A noter enfin que 160 invités sont présents à ce rendez-vous artistique, dont l’audience s’élargit d’année en année, et rehaussé cette fois-ci par la présence de l’humoriste Bétissam, l’artiste et comédien Abdenour Chelouch, le réalisateur Larbi Lakhal et le chanteur Djamel Laroussi.

Source: M. Nadjah, El Watan.

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