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Grande vallée façonnée par l’Oued portant le même nom, la Saoura est l’une des régions les plus attrayantes du sud algérien. Elle est limitée au Nord par les Monts des Ksour et le Haut Atlas marocain, à l’ouest par la Hamada du Draa, à l’est par les oasis du Tidikelt et au sud par le plateau du Tanezrouft. Un décor fait de paysages lunaires de la Hamada du Guir contrastés à l’autre rive par les splendides dunes dorées du grand Erg Occidental. Entre ces deux ensembles féeriques s’incrustent, tels les joyaux d’un collier, palmeraies et ksour le long du lit des Oueds.

 

  

 

Archives

8 juillet 2009 3 08 /07 /juillet /2009 18:01

Les festivités du 5 juillet ont été marquées, la veille, par l'inauguration d'une maison de jeunes à Boukaïs, une petite localité de 1500 habitants dans les ksours du Nord à 45 km de Bechar.

Ont assisté à cette inauguration les autorités locales et responsables de la jeunesse et des sports. Bâtie sur une superficie de 2500 m2, la nouvelle maison de jeunes est dotée d'un terrain de sport, d'une bibliothèque, d'une salle polyvalente avec divers jeux électroniques, d'une salle équipée de moyens informatiques et d'un logement de fonction. La maison de jeunes aura coûté la somme de 30.000.000 DA.

Source: M. Nadjah, El Watan.

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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 18:07

La commune de Bechar s'apprête à organiser, entre le 6 et 8 juillet prochain, un mariage collectif en faveur d'une cinquantaine de jeunes démunis.

L'année dernière, la collectivité locale a permis de faire convoler en justes noces une vingtaine de personnes. Cette louable initiative avait suscité une telle satisfaction au sein de la population, qu'elle tend aujourd'hui à devenir une tradition, selon le P/APC. Pour concrétiser un tel projet, la commune n'hésite pas à en supporter les frais en puisant, dans son budget, une part importante pour le financement de ce mariage collectif qui est estimée à 1 000 000 DA. L'entreprise de téléphonie Mobilis y contribue également à hauteur de 500 000 DA ainsi que d'autres bienfaiteurs privés qui ont promis de faire une donation financière de 600 000 DA. Un dîner a été offert par la municipalité à des personnalités locales et autres invités en vue de les sensibiliser à une contribution financière à ce mariage collectif.

 

Source: M. Nadjah, El Watan.

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29 juin 2009 1 29 /06 /juin /2009 18:04

Selon un psychiatre, le nombre de jeunes affectés par le fléau de la toxicomanie a sensiblement augmenté.

Ce spécialiste déplore l'absence de centre de dépistage, d'accueil et de traitement des toxicomanes. A Bechar, on déplore toutefois l'inefficacité des campagnes de sensibilisation. Effectivement on a pu constater, lors de cette journée, l'absence totale de statistiques reflétant le nombre des individus atteints par la toxicomanie ainsi que le manque de coordination et de concertation entre la DAS, les services de Santé publique, de la Jeunesse et les associations locales engagées dans la campagne de sensibilisation.

 

Source: M. Nadjah, El Watan.

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17 juin 2009 3 17 /06 /juin /2009 20:57
Quatre mille quatre cent cinquante-quatre candidats, dont 2 265 filles iront en première année moyenne dans la wilaya de Béchar. Ces résultats, qui ont été obtenus après la première session de l’examen de fin de cycle primaire, donnent un taux de 78,28%, soit une augmentation de 8% par rapport à l’année scolaire 2008/2009. Pour ce qui est du taux de réussite au certificat de fin de cycle primaire, il est passé de 40% l’année passée, à 55,34 % cette année, soit un taux d’amélioration de 15,34%. Aussi, la direction de l’éducation de Béchar a enregistré 354 élèves lauréats à cet examen. Ces élèves ont obtenu des notes qui varient entre 8/10 et 10/10. Selon le directeur de l’éducation, les résultats obtenus cette année sont encourageants, en attendant une éventuelle augmentation du nombre et du taux de réussite au cours de la 2e session, qui aura lieu le 24 juin prochain. Par ailleurs, un nombre important d’enseignants de français seront recrutés pour l’année scolaire 2009/2010, pour améliorer le niveau des élèves dans cette matière à Béchar. Ces enseignants sont issus de la promotion de l’université du chef-lieu de wilaya.

Source: R. Roukbi, Liberté.
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16 juin 2009 2 16 /06 /juin /2009 21:23
Dans un objectif de donner des solutions scientifiques aux problèmes du développement durable et de faire un stop aux importations d'aliments destinés à l'aquaculture développée dans les régions du Sud algérien, le Laboratoire de phytochimie et synthèse organique (LPSO) de l'université de Bechar en partenariat avec la Direction régionale de la pêche et des ressources halieutiques (DRPRH) de la wilaya de Bechar élaborent un projet de recherche sur l'aquaculture saharienne. Celui-ci porte plus particulièrement sur l'élaboration et la caractérisation physico-chimique de phytonutriment pour la Tilapia (poisson d'eau douce bien réussi en milieu aride), a-t-on appris du directeur du laboratoire, le Pr Cheriti Abdelkrim. Ce projet dont les travaux ont donné déjà des résultats satisfaisants consiste en la valorisation des déchets agroalimentaires et des plantes sahariennes pour la nutrition de Tilapia, ces déchets sont les alfas des dattes, les dérivés des palmiers et autres plantes dont la production est importante dans le Sud algérien et pratiquement jetés dans la nature, ce qui peut contribuer à l'allégement du coût d'importation d'alimentation pour l'aquaculture. Le laboratoire qu'on a visité dispose aujourd'hui des aquariums dont des centaines de trois variétés de poisson sont suivies et contrôlées et alimentées par la nouvelle formule de nutrition basée sur les produits locaux développés dans le laboratoire LPSO de l'université de Bechar.

Le LPSO est un laboratoire de recherche agréé depuis l'an 2000 par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, dirigé par le professeur Abdelkrim Cheriti et composé de cinq équipes de recherche multidisciplinaires dont la mission primordiale est la valorisation et la recherche des substances bioactives des ressources naturelles sahariennes (chimie, biologie, environnement). Les travaux développés s'articulent autour des plantes médicinales sahariennes: ethnopharmacologie, phytochimie, évaluation biologique, biosorption et la recherche des inhibiteurs naturels des calculs urinaires. En plus de ses activités, le LPSO développe actuellement des techniques de synthèse chimique et analytique pour l'obtention des molécules à intérêt pharmaceutique et contribue à l'encadrement de thèses de Doctorat, Magister, LMD, Master et projets de fin d'études (ingéniorat en chimie pharmaceutique). Plusieurs axes de recherche sont développés par le laboratoire LPSO autour de projets de recherche et des coopérations avec des laboratoires étrangers et nationaux.

Les plantes dans la région du sud-ouest de l'Algérie ont connu ces dernières années une connaissance mondiale grâce à leur valorisation par les travaux du laboratoire qui ont fait l'objet de plusieurs publications dans des revues de renommée internationale comme la fameuse plante utilisée depuis des centaines d'années par les habitants du Sud-Ouest, Oumelbina. Ceci a donné lieu à la participation à des rencontres scientifiques internationales et nationales. Le LPSO envisage de participer à la mise en dynamique du réseau algérien de phytochimie et substances bioactives (ReAlPhytoChem), contribuant ainsi à l'activité et à la vie scientifiques du pays par la valorisation des résultats de recherche en rapprochant l'université à l'industrie.

Source: S. Bentouba, La Quotidien d'Oran.
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8 juin 2009 1 08 /06 /juin /2009 19:57

L'alimentation en eau potable de la ville de Bechar se renforce par la mise en service d'un important apport hydrique sécurisant, en provenance de la localité de Mougheul (ksour du nord).

Cependant, l'eau acheminée tant attendue n'est pas ordinaire, il s'agit d'une eau minérale de haute teneur selon les analyses. Elle est conduite par des canalisations sur un trajet de 60 km. Le projet d'adduction Mougheul 'Bechar, dont les travaux ont duré trois années, entre dans le cadre du programme du Fonds spécial de développement des régions du Sud (FSDRS). Il a été réalisé grâce à sept forages pour la mise en place d'un ensemble d'équipements hydrauliques à Mogheul, lieu de la source, d'une station de pompage et de refoulement d'eau sur une distance de sept km. Le volume hydrique véhiculé par la source est de l'ordre de 13.000 m3/ jour avec un débit de 150 l/seconde qui sera mélangé, dit-on, avec l'eau du barrage de Djorf Torba qui alimente à hauteur de 25.000 m3/ jour la commune de Bechar. Cette quantité sera additionnée au nouvel apport d'eau minérale pour totaliser un volume global de 38.000 m3 dont bénéficiera la population de la principale agglomération de la wilaya.

A noter que les besoins quotidiens en eau potable de la population communale sont estimés par l'ADE à 40.000 m3/jour. Pour dissiper toute crainte, notamment les appréhensions des citoyens, les autorités locales ont tenu à préciser que l'eau minérale de Mougheul, dans un esprit d'équité, « sera mélangée à celle provenant du barrage de Djorf Torba et ne sera pas détournée par aucune caste dite privilégiée ». En tout état de cause, un net progrès dans l'alimentation et la distribution de l'eau potable de la ville est ressenti par la population. Plusieurs quartiers sont alimentés au quotidien, d'autres une fois sur deux jours et quelques-uns une fois tous les trois jours. L'objectif de l'ADE à moyen terme, affirment les responsables de cette entreprise, tend vers l'approvisionnement des foyers pendant huit à dix heures par jour.

 

Source: M. Nadjah, El Watan.

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7 juin 2009 7 07 /06 /juin /2009 20:00
Le tissu économique productif de la wilaya vient de se renforcer avec l'inauguration cette fin de semaine par le wali de Béchar, en présence des autorités locales et du président de la confédération des patronats M. Merakach, de l'unité de production d'eau minérale dans la localité de Mogheul, commune distante de cinquante km de Béchar. Cet investissement privé, qui a coûté la bagatelle de trois cent vingt millions de dinars, a été financé par un crédit de la BEA ; quant à la couverture financière du volet exploitation de cette unité, la BNA, dira son directeur, prendra en charge le financement. La production en eau minérale de l'usine est de l'ordre de 12.000 bouteilles par heure. S'agissant de la création d'emplois, cinquante sont permanents et 250 autres seront dégagés à titre temporaire. Ces offres d'emploi viennent à point nommé pour les jeunes chômeurs de la région, dira le maire de cette collectivité. Par ailleurs, selon le wali de la wilaya, la Sonatrach lancera très prochainement la réalisation de l'importante cimenterie de Benzireg ; à cela, s'ajoute l'entrée en production de l'usine saoudienne de production de lait El Marai ; projets qui prendront en charge un nombre important de demandeurs d'emploi, en plus de la redynamisation de l'activité économique de la wilaya dont l'essor est prometteur. Le chef de l'exécutif ne cache pas sa satisfaction en signalant au passage que les 4 unités de l'ANP se trouvant le long du parcours de l'adduction d'eau potable Mogheul-Béchar sont désormais alimentées par cette eau minérale de haute qualité au même titre que les citoyens de Béchar.

Source: M. Nadjah, El Watan.
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31 mai 2009 7 31 /05 /mai /2009 21:21
Il est bien protégé en matière environnementale et représente une zone humide. Il est destiné à l'irrigation de la plaine d'Abadla, ainsi que pour l'alimentation en eau potable des habitants de la ville de Béchar et ceux de Kenadsa. Aujourd'hui, ce barrage présente une grande richesse de poissons dans le cadre de l'aquaculture. L'essentiel de cette richesse  est la carpe argentée qui pèse entre 20 et 25 kg. Les récipients pour l'insémination de ce poisson parviennent de différents pays, notamment la Hongrie. L'eau du barrage garantie une phytologie très favorable pour l'accroissement rapide de cette espèce hongroise (carpe argentée). Quant à la carpe locale, elle pèse en maturité 10 kg . Les habitants de Béchar s'intéressent à ce poisson, qui revient à bon prix. Tout le monde peut en acheter. Les intellectuels de la ville parlent de richesse en protéines, garant d’une bonne santé, notamment dans la protection de la peau contre les rayons du soleil. En Asie, et ailleurs, la carpe est très demandée dans les restaurants en raison de sa chair délicate et de son goût savoureux. Des restaurants de la localité cherchent à se spécialiser dans cet art culinaire. Il nous a été signalé par un producteur, qu'une une conserverie est nécessaire et qui sera rentable pour la région du Sud-Ouest. Beaucoup d'encre a coulé pour la valorisation de la pisciculture et de sa productivité dans les différentes localités du pays. La direction des ressources halieutiques a toujours favorisé les exploitants de cette culture qui fait partie du développement durable.
D'après le producteur Abdelkader, des propositions ont été faites que que sa marchandise soit commercialisée au niveau des entreprises. Le poisson de Djorf–Ettorba est disponible en grande quantité et d’une bonne qualité. Il est vendu dans de bonnes conditions d'hygiène, avec le contrôle d’un vétérinaire. Beaucoup de gros poissons sont stockés dans une chambre froide afin d’en préserver la chair.

Source: M. Smail, La Nouvelle République.

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5 mai 2009 2 05 /05 /mai /2009 21:25

La 3e édition du Festival Diwane de Béchar, et c’est désormais la nouvelle appellation choisie pour remplacer celle de Gnaoui programmée du 1er au 6 mai, a été inaugurée vendredi dans la soirée par les autorités locales qui ont donné le coup d’envoi à cette manifestation culturelle au grand stade Nasr en présence d’un cadre représentant le ministère de la Culture.


Quatre troupes musicales de Mécheria, Dendoune de Ghardaïa, Bilalia de Témouchent et Noujoum Saoura se sont produites sur scène au cours de cette première soirée. La faible affluence du public, le premier jour, a laissé penser un moment à une indifférence, voire une désaffection des gens pour ce genre de musique. Mais non ! Samedi, la foule habituelle que l’on attendait était au rendez-vous pour assister au magnifique spectacle de Lotfi Double Kanon. Combien étaient-ils ? Mille, deux mille ? Difficile d’évaluer leur nombre car les spectateurs se confondaient entre ceux qui assistaient assis par terre et les autres qui dansaient sur les gradins. Le chanteur attendu, adulé par les jeunes venus de plusieurs quartiers et qui se sont défoulés dès sa première sortie, a failli provoquer une hystérie collective, tellement la complicité était de mise entre lui et ses fans galvanisés qui se balançaient au rythme de la musique de leur idole. « Ici, vous n’avez pas la mer et je dédie mon spectacle aux harraga du nord qui meurent en plein océan », a-t-il martelé, accentuant encore la galvanisation des jeunes par des cris tonitruants. Un véritable régal pour ses spectateurs composés de jeunes déchaînés et frustrés de défoulement tout le long de l’année. Les fans du chanteur ont, un moment, empêché l’artiste de se frayer un chemin pour quitter l’ancien stade de football à la fin de son concert. Il faut avouer que les échos du son des instruments de musique des troupes résonnent à travers la ville endormie dans la fraîcheur des soirées de ce début de mai jusqu’aux banlieues. Les spectacles commencent à partir de 22 h et se terminent à 1 h du matin. Pour rappel, une vingtaine de troupes musicales, venues des régions de l’Est, du Centre et de l’Ouest, sont invitées au Festival Diwane. Dix-sept d’entres elles sont programmées pour une compétition, à l’issue de laquelle neuf lauréats des trois éditions devront être sélectionnés et retenus pour participer au Festival panafricain qui se tiendra à Alger au mois de juillet prochain. A noter aussi qu’en marge de la manifestation artistique, la Maison de la culture de Béchar organise, parallèlement dans les matinées, des conférences animées par des professeurs universitaires en rapport avec la musique Diwane. A noter enfin que 160 invités sont présents à ce rendez-vous artistique, dont l’audience s’élargit d’année en année, et rehaussé cette fois-ci par la présence de l’humoriste Bétissam, l’artiste et comédien Abdenour Chelouch, le réalisateur Larbi Lakhal et le chanteur Djamel Laroussi.

Source: M. Nadjah, El Watan.

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5 mai 2009 2 05 /05 /mai /2009 21:22

M. Nouredine Moussa, ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme, en visite, lundi, à Bechar, a inspecté le chantier de la première tranche du nouveau pôle universitaire installé sur la route de la localité de Lahmar.


D’une superficie de 116 ha, la première tranche d’un ensemble de 20.000 places pédagogiques est composée des instituts de 4000 places pédagogiques et des annexes constituées d’un centre médicosocial, de salles de sports et terrains de jeux et d’une cité de 1500 lits. L’Autorisation de programme dégagée pour ce gigantesque projet s’élève à 274.500.000.000 DA. Le ministre de l’Habitat a ensuite inspecté les chantiers des nouveaux sièges de la DUC, de la DLEP ainsi que les travaux d’aménagement extérieurs de la double voie à la zone bleue. Ces travaux ont nécessité la mobilisation de crédits de l’ordre de 220.000.000 de DA. S’agissant du secteur de l’habitat qui accuse un retard au regard de la forte demande exprimée, 1041 logements sociaux locatifs ont été mis en exploitation et 1680 sont en instance d’être livrés.

Sur place, le ministre a été interpellé par un entrepreneur au sujet des difficultés liées au coût du logement social généré par les récents renchérissements sur le prix des matériaux de construction acheminés des régions portuaires du Nord. Un autre entrepreneur travaillant sur un chantier de 200 logements LSP a soulevé l’absence de coordination entre les centres de formation et le marché de l’emploi local ayant abouti à la pénurie de la main-d’œuvre qualifiée. Nouredine Moussa a appelé l’association des gestionnaires des entreprises des travaux publics à s’organiser, à installer leurs chantiers conformes aux règles requises et à dénoncer toutes les formes de spéculation. La demande d’un chef d’entreprise, qui a sollicité l’aide du ministre pour la recherche en matière de conception et type de construction de logement adapté au Sud, a retenu l’attention du ministre qui a promis d’œuvrer dans ce sens.

Le ministre a achevé sa tournée d’inspection à Taghit où il a visité trois chantiers (siège de la subdivision de la DUC, 265 logements ruraux réalisés) et la réhabilitation achevée d’un ksar dont la somme est évaluée à 340.000.000 DA.

Source: M. Nadjah, El Watan.

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