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Grande vallée façonnée par l’Oued portant le même nom, la Saoura est l’une des régions les plus attrayantes du sud algérien. Elle est limitée au Nord par les Monts des Ksour et le Haut Atlas marocain, à l’ouest par la Hamada du Draa, à l’est par les oasis du Tidikelt et au sud par le plateau du Tanezrouft. Un décor fait de paysages lunaires de la Hamada du Guir contrastés à l’autre rive par les splendides dunes dorées du grand Erg Occidental. Entre ces deux ensembles féeriques s’incrustent, tels les joyaux d’un collier, palmeraies et ksour le long du lit des Oueds.

 

  

 

Archives

16 janvier 2007 2 16 /01 /janvier /2007 23:21

La capitale de la Saoura, Béchar, qui a connu le faste avec  les richesses minières de Kenadsa, renommée par ses gisements de charbon d’une production de 300 0000 tonnes par an et dont les trois bassins carbonifères sont, nous dit-on, en jachère du fait que ce bassin houiller a été soumis à une intense exploitation de 1950 à 1975. Cela reste dans la mémoire de certains septuagénaires qui sont encore vivants et vivent avec leur retraite mensuelle après avoir travaillé des années durant à la Houillère du sud oranais (HSO).

L’histoire économique de cette région est ignorée des jeunes d’aujourd’hui qui croient uniquement que l’histoire a laissé des vestiges de l’industrie du sud-ouest de l’Algérie. La population de la Saoura vivait au rythme de sa production minière locale, qui subjuguait un grand nombre d’ouvriers étrangers qui travaillaient à la houillère, une région considérée comme étant énormément prospère à cette époque. Néanmoins, l’agriculture de la Saoura se travaillait selon ses traditions agricoles, avec des moyens rudimentaires. Au cours de ces dernières décennies, les approvisionnements en produits alimentaires de première nécessité parvenaient du Nord jusqu’à l’heure actuelle…

Actuellement à Béchar, il  n’existe aucune activité industrielle, ne serait-ce qu’une petite PME ou PMI et c’est ainsi que la population de Béchar s’interroge sur le devenir économique de la région, sur les investissements et les enjeux de la politique de développement local, régional et national et sur les investisseurs qui ne se font pas connaître. L’éloignement et peut-être aussi l’isolement, sont les facteurs qui font partie des contraintes ayant amené à cette situation. Les conditions climatiques jouent également un rôle dans ce contexte, d’où les spécificités industrielles de productivité et sociologiques (potentiel humain) n’ont jamais été prises en considération, tel que le transport de la matière première qui devient coûteuse pour la production de lait (Sud lait) par exemple, en dépit de la distance qui varie de 700 à 1 000 kilomètres pour atteindre le port le plus proche, les usines où bien pour l’achat de matières premières, sans compter le retour et les risques encourus. Est-ce que les investisseurs font bien leurs calculs et analyses pour éviter les échecs et les dérapages financiers ? Est-ce qu’il y a dans la wilaya de Béchar des hommes d’affaires ? Est-ce qu’il n’y a pas d’aéroport international pour les échanges avec l’Europe ? Est-ce les conséquences de la mondialisation ? En outre, ce qui intéresse les investisseurs est disponible pour les inciter à investir dans le sud du pays, notamment l’existence de matières énergétiques, ressources en eau, terrains de construction, main d’œuvre. Concernant le projet de la cimenterie de Benzireg, un site connu pour ses schistes, situé sur la RN6  et distant de 50 kilomètres du chef-lieu de la wilaya de Béchar. Certains matériaux composant ces schistes sont utilisés dans la fabrication de carreaux céramiques et de ciment, additivement au calcaire. Rappelons que les réserves totales sont estimées à 5 398 096 tonnes.

Peut-être que l’équation de la saturation au Nord obligera les investisseurs à s’orienter vers le Sud pour des projets qui auront plus de valeur commerciale et économique.
Comme il nous a été signalé, ce ne sont pas les portes ouvertes et la quinzaine économique qui feront l’objet de développement industriel, car ceci est une insuffisance, autrement dit c’est la programmation éventuelle d’une foire internationale qui va mettre en cohésion tous les rapports d’investissement et réunir tous les paramètres du mode d’emploi d’un forum international qui donnera des obligations de la créativité et la productivité fera l’objet des ouvertures dans le continent africain. Il est à remarquer que si la RN6 est coupée lors des intempéries, toute la région est paralysée isolée du sud ouest du pays.
A l’heure actuelle, les seuls dossiers qui sont déposés au niveau du CALPI portent sur des investissements médiocres et non durables, à savoir café, bain maure, station de distribution de carburant, dortoirs et d’autres travaux lucratifs. Il est à noter que les articles les plus simples à fabriquer localement pour la vie quotidienne parviennent du Nord et cela reste un paradoxe.

En effet, c’est une importance que le tourisme accompagne sa valeur dans le volet artisanal, des sites naturels et historiques et pour cela l’hôtellerie de la région est connue (tourisme) uniquement lors de circonstances occasionnelles ou périodiques avec de maigres rentabilisations.

En 1979, dans la zone industrielle le mètre carré coûtait
69 DA et 27 ans après, avec trois tentatives de viabilisation, elles n’ont pas abouti. L’Urbat réclame un complément de 700 DA le mètre carré et certains opérateurs économiques estiment qu’elle doit leur rembourser le manque à gagner évalué sur plusieurs années de retard.

Pour sa part, M. Tiouti Abdelkader, représentant local du conseil supérieur du patronat algérien (CSPA), a précisé que les lois de l’investissement actuel ne suffissent pas malgré le peu d’avantage spécifique accordé à la région, qui n’attire pas les investisseurs. Il a ajouté que les avantages sont si minimes que les investisseurs régionaux préfèrent s’installer dans le nord du pays.

Source: Mohammed Smaïl, La Nouvelle République
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15 janvier 2007 1 15 /01 /janvier /2007 15:21

 

Le conseil régional de déontologie médicale (CRDM) de la région du Sud-Ouest a organisé récemment une journée de sensibilisation et de formation au centre de formation paramédicale de Béchar, au cours de laquelle ont été dénoncées certaines pratiques, qui ne plaident pas en faveur de cette profession.

 

Cette journée dont l’ouverture a été faite par le chef de la daïra de Kenadsa, venu représenter le wali, regroupait des médecins, des chirurgiens-dentistes et des pharmaciens exerçant dans le secteur public, ainsi que des praticiens du secteur privé. On remarquait également la présence des délégués des wilayas respectives de Naâma, El-Bayadh, Adrar et même Tindouf. La rencontre a été rehaussée par la présence des Professeurs Belhadj et Benathmane, venus du CHU Mustapha d’Alger et de Me Benmoussa, avocat, intervenant à titre de juriste.

 

Les différentes conférences tournaient autour des thèmes «Droit et santé mentale en Algérie», «Circoncision et responsabilité médicale», «Intérêt des documents médicaux-légaux» et «Ethique médicale en milieu carcéral». En marge de cette journée, le Dr Bendada Cheikh, président du CRDM pour le Sud-Ouest, a tenu à préciser à la presse, que la commission de qualification relevant du conseil de l’ordre de déontologie médicale est d’une importance capitale, puisqu’elle détermine le champ d’intervention des médecins spécialistes ou généralistes. Il ajoutera qu’un médecin qui n’a pas été spécialisé dans telle ou telle spécialité, n’a ni le droit de l’inscrire sur sa plaque ou sur son ordonnance, ni celui de la pratiquer. A titre d’exemple, il dira qu’un médecin qui n’a pas été formé en biologie, ne doit pas pratiquer des examens biologiques dans son cabinet, parce qu’il n’en a pas la compétence. Dans la foulée il citera des exemples de médecins généralistes, qui pratiquent des échographies ou des radiologues qui se substituent aux médecins et délivrent des ordonnances médicales. D’autre part, il exprimera son étonnement devant le fait que les structures sanitaires relevant du secteur public et disposant de tous les moyens humains et matériels fournis par l’Etat, n’arrivent pas à concurrencer le secteur privé et il se dit outré par le fait, que le secteur privé dispose de certains «rabatteurs» exerçant dans le public et qui ne se privent pas d’orienter les malades vers le privé, pour la moindre analyse ou radio, alors qu’ils peuvent le faire eux-mêmes sur place. Tout le monde connaît les formules stéréotypées «manque de produits» ou «appareil en panne». «Il est grand temps de moraliser la profession», conclura-t-il, avant de passer la parole au Pr Belhadj, dont nous réservons l’intervention pour demain à nos lecteurs.

 

Source : M. Ahmed, La Voix de l'Oranie.
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11 janvier 2007 4 11 /01 /janvier /2007 20:25
Le réalisateur Lakehal Larbi entamera le week-end prochain le tournage d’un documentaire sur la résistance politique et armée des populations du Sud-Ouest du pays contre la pénétration coloniale française dans cette région qui englobe les wilayas de Bechar, Adrar, Tindouf, El Bayadh et Naama.
Ce documentaire, dont le scénario a été écrit par le réalisateur «après de longues années de recherche sur l’histoire des différentes formes de la résistance populaire», couvre la période allant de 1855 à 1935, et de cette date jusqu’au recouvrement de l’indépendance nationale.

Ce travail s’intéressera notamment aux étapes marquantes de cette résistance, notamment celles des Ouled Sidi Cheikh conduite par Cheikh Bouamama et de Boumezrag, avec la désignation du Général Lyautey à la tête de la subdivision d’Aïn Sefra pour réprimer toute forme de résistance des populations du sud-ouest.
Pour les besoins de ce documentaire, d’une durée de 104 minutes, des reconstitutions historiques de certains événements et faits héroïques seront tournées sur les lieux de leur déroulement avec des figurants locaux.
Le film alliera le genre documentaire et la fiction, à travers le tournage de séquences reconstituant les batailles opposant les cavaliers des tribus de la région aux fantassins de l’armée coloniale, les brutalités, les tueries et les atrocités commises par l’armée coloniale.

La réalisation de ce film-documentaire s’inscrit dans le cadre du programme de la manifestation «Alger, capitale de la culture arabe», a rappelé le cinéaste.

Source : La Voix de l'Oranie.
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10 janvier 2007 3 10 /01 /janvier /2007 12:38

« Les 35 ressortissants marocains, qui ont réussi à franchir illégalement la frontière algérienne du Sud-Ouest au niveau de la région de Béchar, ont été placés avant- hier en détention préventive à la prison de Béchar.
Ces jeunes Marocains, qui ont fui la misère et la pauvreté dans le pays du royaume de Mohammed VI, ont été interceptés par les éléments de la gendarmerie des gardes-frontières près du lieu-dit Boukaïs à 50 km au nord de la ville de Béchar. Ils ont été présentés au parquet de Béchar.
Le magistrat instructeur a écroué ces ressortissants pour le chef d’inculpation d’immigration clandestine et d’entrée illégale sur le territoire algérien. Selon des sources concordantes, ces jeunes Marocains ont déclaré, lors de leur présentation devant la justice, qu’ils ont fui, tout simplement les poches de la misère et de la pauvreté qui sévissent au Maroc. Nos sources ajoutent que ces derniers n’ont pas trouvé d’autres solutions que de s’introduire illégalement sur le sol algérien pour s’ y réfugier. “En Algérie, on a des chances de trouver du travail et de vivre dignement. Là-bas au Maroc, nous vivons dans la privation”, ont-ils témoigné.
Ce sont des jeunes Marocains dont l’âge oscille entre 18 et 30 ans qui viennent d’une ville frontalière marocaine où ses habitants ne vivent que de l’élevage du bétail. “Nous avons opté pour l’Algérie parce que ce pays voisin est en pleine croissance d’autant que le président algérien a lancé plusieurs programmes de développement qui créeront de l’emploi”, ont-ils ajouté.
Ces Marocains sont issus, selon nos sources, d’une région pastorale où le métier d’éleveur est exercé de père en fils. “Nous n’arrivons plus à subvenir à nos besoins là-bas, en raison de la sécheresse qui sévit dans cette région”.
Cependant, il faut noter que les opérations menées par les éléments des GGF de Béchar ont sensiblement réduit le trafic du bétail puisque ces Marocains arrêtés vivaient illégalement de cette activité.
“Aujourd’hui, avec la vigilance des GGF, les Marocains qui arrivent à joindre les deux bouts dans cette région pastorale se comptent sur les doigts d’une main et les autres pataugent dans la misère”.
À rappeler qu’il y a deux années, pas moins de 52 personnes, issues d’une même famille répondant au nom de Maâdri de nationalité marocaine, ont franchi la frontière algérienne du Sud-Ouest pour fuir la pauvreté. Ces ressortissants étrangers ont été interceptés par les GGF au lieu-dit Oued Brahim dans la bande frontalière.
Ces derniers ont carrément réclamé leur algérianité du fait que leurs ancêtres étaient de nationalité algérienne. Ces 52 personnes ont été prises en charge à l’époque par le Croissant-Rouge algérien qui leur a fourni des denrées alimentaires et des médicaments. »

Source : Rachid Roukbi, Le journal la Liberté.



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9 janvier 2007 2 09 /01 /janvier /2007 12:03
Sonatrach et l’Agence Nationale du Patrimoine Minier (ANPM) ont procédé le samedi 06 janvier 2007, à Alger, en présence de Monsieur Chakib Khelil, Ministre de l’Energie et des Mines, à la signature des cahiers des charges portant attribution des titres d’exploration minière du gisement de fer géant de Gara Djebilet (Béchar).

Les réserves du gisement de Gara Djebilet, découvertes il y a plus de 40 ans, sont estimées à 04 milliards de tonnes de minerai de fer.

Sonatrach a signé également, durant le même jour, deux contrats d’association relatifs à l’exploration et à la mise en valeur de gisements aurifères et de Zinc-Plomb.

Le premier contrat signé entre Sonatrach (35 %), Goldim (filiale de l’Office algérien de recherche géologique et minière (ORGM, 14 %) et le partenaire chinois Shaolin (51 %) porte sur l’exploration et la mise en valeur des périmètres à plomb-zinc de Boukhdema, Kef Semmah et Ain Sedjra dans la wilaya de Sétif.

Le second contrat porte sur l’exploration et la mise en valeur des périmètres aurifères d’Isselfene sud 1, Isselfen sud 2, Seldrar et Idereski dans la wilaya de Tamanrasset.

D’un montant d’investissement de 2 millions de dollars, le contrat a été signé par Sonatrach (35 %), Goldim (12%) et également le chinois Shaolin (53 %).

Ces contrats constituent des gages de garantie pour les investisseurs potentiels et permettront à Sonatrach d’investir le secteur minier pour contribuer à sa dynamisation et son développement et élargir en même temps son portefeuille en s’engageant ainsi dans des projets hors hydrocarbures.


Source : Communiqué SONATRACH. Actualité éditée par : Europétrole
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7 janvier 2007 7 07 /01 /janvier /2007 11:59

Les gardes-frontières de Djeninat, wilaya de Béchar, ont récupéré cinq bêtes de somme et dix-neuf fûts d’une contenance globale de 570 litres de carburant, abandonnés par des contrebandiers. Les animaux et le carburant ont été rendus à la brigade de gendarmerie nationale de Béni Ounif qui a ouvert une enquête. Par ailleurs, le 4 janvier 2007, les gardes-frontières de Djanet ont interpellé un Nigérien, en situation irrégulière, à bord d’un véhicule de marque Toyota FJ-45, conduit par un national. Ils étaient en possession de 2 000 francs CFA et 1 120 litres de carburant destinés à la contrebande. Ils ont été remis à la brigade de Gendarmerie nationale de Djanet qui ouvert une enquête.

Source: temoust
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5 janvier 2007 5 05 /01 /janvier /2007 11:45
L’urbanisation et l’afflux des investisseurs dans  la wilaya de Tindouf ont permis au secteur du transport routier de connaître  un véritable essor, ces dernières années.          
Ce développement a permis l’ouverture de nouvelles dessertes confiées  à des opérateurs privés, à l’instar de la ligne Tindouf-Sétif ou encore celles  desservant Blida, Alger, Oran et Adrar, en passant par la ville de Béchar.          
Ces dessertes facilitent les mouvements des voyageurs vers les wilayas  du nord du pays, devenus difficiles depuis la majoration du prix du transport  aérien qui atteint près de 30.000 DA pour un vol Tindouf-Alger, a indiqué  le directeur des transports de cette collectivité locale.          
Cet essor a, à ce titre, incité les autorités locales à consacrer une  enveloppe de 90 millions de DA pour la réalisation d’une nouvelle gare  routière (de catégorie B), en mesure d’offrir toutes les commodités aux voyageurs  et aux opérateurs du secteur, note-t-on.          
L’étude de réalisation de cette infrastructure sera bientôt clôturée  en attendant l’élaboration d’un cahier des charges. Le lancement des travaux  de concrétisation de ce projet est prévu au début du premier trimestre 2007  avec un délai de livraison fixé à 14 mois, a indiqué la même source.

Source : El Moujahid.
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5 janvier 2007 5 05 /01 /janvier /2007 11:41

Plusieurs villes et localités de la Saoura et de la zone saharienne Ouest seront raccordées au gazoduc transmaghrébin pour être alimentées en gaz naturel, notamment les communes de Beni Ounif, Béchar et Beni Abbès.  
A cet effet, une étude technico-économique portant sur le projet de raccordement au réseau de gaz naturel des villes du Sud-Ouest au gazoduc traversant la wilaya de Naâma, est en cours d’élaboration par la Sonelgaz, indique la direction régionale d’exploitation et de distribution de cette entreprise. Ce projet devrait être réalisé sur plusieurs phases s’étalant sur six années à partir de 2007. Les travaux d’approvisionnement des régions du sud de la wilaya de Naâma, dont Djeneine Bourezg et Aïn Ben Khelil seront lancés incessamment au titre du programme de développement des Hauts Plateaux. S’agissant des communes relevant de la wilaya de Béchar, le financement des projets de raccordement au réseau principal de gaz de ville est prévu au titre du programme de développement des wilayas du Sud qui permettra aux habitants du Sahara "d’oublier" les difficultés rencontrées en matière d’approvisionnement en gaz butane. A noter que la commune de Béchar a bénéficié du raccordement de plus de 3.200 foyers au gaz après la mise en service de la station propane. Cependant et face aux coûts élevés de cette opération, l’entreprise Sonelgaz a décidé "de se passer" des camions-citernes de propane et d’inscrire des projets de raccordement des villes du Sud au gazoduc reliant l’Algérie à l’Espagne via le Maroc, souligne-t-on.


Source : El Moujahid.


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5 janvier 2007 5 05 /01 /janvier /2007 11:39
Le secteur de la jeunesse et des sports de la wilaya de Béchar vient de bénéficier de cinq importants projets d’un montant global de 192 millions de dinars, apprend-on auprès du directeur de la jeunesse et des sports (DJS).
Ces projets, inscrits dans la perspective du développement et de la modernisation des infrastructures sportives, au titre du programme de soutien à la croissance économique (tranche 2007), portent sur la réalisation d’une salle omnisports d’une capacité de 500 places à Kenadza pour un coût estimé à 80 millions de dinars.
Cette future infrastructure sportive permettra le renforcement de la pratique sportive dans la région en dotant cette dernière de moyens à même de promouvoir les différentes disciplines sportives collectives, souligne le même responsable.
Une piscine semi-olympique, deux complexes sportifs de proximité et une salle polyvalente sont également prévus au titre du même programme, au profit respectivement des communes d’El Ouata, Kerzaz et Lahmar, pour un coût global de 90 millions de dinars, précise le DJS.
Ces futures réalisations qui viendront s’ajouter à celles déjà existantes à travers la wilaya de Béchar, renforceront le réseau des infrastructures et installations sportives recensées dans toute la région. Elles permettront d’abriter, éventuellement, des manifestations nationales dans des conditions répondant aux normes internationales requises, indique-t-on à la direction de la jeunesse et des sports.

Source :  El Moujahid.
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3 janvier 2007 3 03 /01 /janvier /2007 11:55
Les travaux de réalisation de la raffinerie d’Adrar,  lancés en juin 2004, accusent un taux d’avancement de 98% et ceux de la base-vie  60%, a-t-on appris auprès du directeur général-adjoint de l’entreprise chinoise  "SORALCHIN".          
Cette raffinerie est réalisée en partenariat entre le groupe algérien  Sonatrach et la société chinoise des pétroles CNPC pour un montant de 167 millions  de dollars US, indique la même source qui précise que la part de financement  de Sonatrach est de 30% en dinars et celle de la société chinoise de 70% en dollars.         
Cette raffinerie, d’une capacité de traitement de 600.000 tonnes de  pétrole brut par an, est destinée à la production de divers produits d’hydrocarbures  dont notamment les gaz propane, butane, kérozene, l’essence normale, super et  sans plomb, ainsi que le gas-oil.         
Cette raffinerie devrait être gérée par des experts algériens et chinois,  indique le responsable de "SORALCHIN" qui précise que cette dernière a lancé  en janvier 2006 une campagne de formation de 160 jeunes de la wilaya d’Adrar,  de Béchar et de Naama, dont des agents de la sécurité industrielle, des techniciens,  des laborantins, ainsi que des opérateurs d’exploitation et de maintenance (mécaniciens,  instrumentalistes et électriciens).         
Pour ce qui est de l’administration, la même source indique qu’une première  phase de recrutement est en cours, en collaboration avec la direction de l’emploi  d’Adrar et de l’Agence nationale de l’emploi et de la main d’œuvre.  Plus de 200 jeunes algériens travaillent dans cette raffinerie qui devrait  entrer en phase de test dès son achèvement, indique le DG-adjoint de "SORALCHIN"  qui précise que le rayon d’action de cette raffinerie couvre les wilayas d’Adrar,  de Bechar, de Tindouf et de Tamanrasset dont l’approvisionnement en produits  pétroliers s’effectue par rails et par routes à des coûts élevés.         
S’agissant de l’impact économique de cette infrastructure, la même source  indique que la réalisation de cette dernière a induit une forte demande en matériaux de construction et en produits alimentaires (plus de 20.000 chinois travaillent  dans cette raffinerie), ainsi qu’une forte demande auprès des transporteurs  et des propriétaires d’engins de travaux publics.

Source : El Moujahid.
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