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Grande vallée façonnée par l’Oued portant le même nom, la Saoura est l’une des régions les plus attrayantes du sud algérien. Elle est limitée au Nord par les Monts des Ksour et le Haut Atlas marocain, à l’ouest par la Hamada du Draa, à l’est par les oasis du Tidikelt et au sud par le plateau du Tanezrouft. Un décor fait de paysages lunaires de la Hamada du Guir contrastés à l’autre rive par les splendides dunes dorées du grand Erg Occidental. Entre ces deux ensembles féeriques s’incrustent, tels les joyaux d’un collier, palmeraies et ksour le long du lit des Oueds.

 

  

 

Archives

1 janvier 2007 1 01 /01 /janvier /2007 13:19

« Les observateurs décrivent maintenant le Sud-Ouest algérien comme un futur eldorado. Après l'agriculture, c'est à l'aquaculture de prendre une place dans l'économie régionale.

Et c'est face à une demande de plus en plus croissante en produits halieutiques que l'aquaculture est en passe de devenir un créneau privilégié à Béchar. L'installation dans cette wilaya d'une direction de la pêche et des ressources halieutiques, qui couvre aussi les wilayas de Tindouf, Adrar, El Bayadh et Tamanrasset, est destinée à favoriser l'expansion de l'aquaculture et de la pêche continentale, qui constituent un maillon important dans la sécurité alimentaire. Ce dernier est le principal objectif pour tout pays qui souhaite réduire sa dépendance de l'extérieur.Dans ce contexte, une chambre interwilayas de la pêche et des ressources halieutiques a récemment été installée à Béchar avec, pour objectif, la vulgarisation des activités aquacoles et ses activités connexes telles que le transport, la conservation, la transformation et la commercialisation du poisson. Diverses actions de sensibilisation ont été entreprises dans plusieurs daïras et semblent susciter un réel engouement de la part des investisseurs potentiels, ce qui laisse présager un développement rapide de l'aquaculture dans la wilaya. Cette activité peut constituer une source importante de protéines et d'oligo-éléments, indispensables notamment à la croissance des enfants et à l'équilibre alimentaire des adultes. Grâce à des rendements élevés, l'aquaculture permet de valoriser et de rentabiliser les plans d'eau, les lacs et les étangs.
Même les forages saumâtres dont la teneur en sel ne permet pas leur utilisation pour l'alimentation en eau potable ou l'agriculture, peuvent être mieux rentabilisés par l'élevage en étang artificiel de certaines espèces de poisson telles que le mulet ou le tilapia. Outre le poisson, certains sites peuvent servir à l'élevage de nombreuses espèces de crustacés tels que l'artemia salina, un minuscule arthropode, très prisé sur les marchés internationaux. Créatrice d'emplois et de richesses, l'aquaculture peut également participer au développement économique des régions où elle est pratiquée, tout en assurant aux populations qui y vivent un apport régulier en poisson frais, dont la valeur nutritive est de loin supérieure à celle du poisson conservé par le froid soit par réfrigération ou par surgélation. »

Source: www.infosamak.org
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1 janvier 2007 1 01 /01 /janvier /2007 13:11
« Le secteur des travaux publics consacre actuellement  791 millions de dinars pour les travaux de réhabilitation et d’entretien des routes  nationales, chemins de wilaya, et chemins communaux (RN, CW et CC) de la wilaya  de Béchar, apprend-on auprès de la direction des travaux publics (DTP).          
Ces routes très fréquentées du fait de l’augmentation ces 10 dernières  années du trafic routier à travers la région de Béchar, sont des "zones incontournables"  pour le transit vers les autres villes du sud-ouest du pays, notamment Adrar  et Tindouf.         
Dans ce contexte, il est prévu une opération de confortement sur 50  km de la RN 50 reliant Béchar à Tindouf (sur une distance de 900 km), pour un  coût de 450 millions de DA.         
La RN 6 B, notamment son tronçon Taghit-Igli, fera également l’objet  de travaux similaires sur un parcours de 35 km dans le but de l’amélioration  de la circulation sur cette route, située dans une zone à vocation essentiellement touristique et constituant un accès important pour les ksour enclavés de ces  deux daïras.
Ce projet de 250 millions de DA est destiné aussi à stimuler le  transport des voyageurs et des marchandises.         
D’autres opérations d’envergure sont également au menu du programme  de développement du secteur des travaux publics. Il s’agit de l’achèvement de  trois études techniques portant sur la réalisation d’une nouvelle route reliant  la ville de Tabelbela à celle de Béchar, le renforcement de la piste secondaire  de l’aéroport régional "D’ghene Boudghene Lotfi" de Béchar, et la réhabilitation  sur 100 km des chemins de wilaya pour un coût total de 46 millions de DA.          S’agissant de la maintenance des chemins de wilaya, le secteur a dégagé  pour cette année un montant de 35 millions de DA mobilisés, après les diagnostics  des services concernés.         
La réception de la rocade-est de la ville de Béchar, pour plus de 300  millions de DA, confirme le développement que connaît ce secteur et les efforts  déployés pour la modernisation des réseaux routiers.         
Pour de nombreux citoyens, un intérêt accru doit aussi être accordé  au réseau routier à travers les grandes agglomérations de la wilaya, à l’instar  de la ville de Béchar "qui souffre de nombreux points noirs, et qu’il faut prendre  en charge", eu égard à l’ampleur de l’extension de son réseau urbain et de la  croissance de ses besoins. »

Source: El Moujahid
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1 janvier 2007 1 01 /01 /janvier /2007 13:07
« Ce lundi , la délégation de l’exécutif conduite par le wali de Béchar a procédé à l’inauguration officielle d’une rocade (21 km) située dans la zone Est , vaste étendue de la future extension de la ville et non loin de Djebel Béchar. Auparavant, la délégation a assisté à l’ouverture officielle à la circulation d’un tronçon routier de 2 km doté d’un pont (140 m) réalisé sur l’oued Béchar et relié à la rocade. La bretelle est située à la limite territoriale séparant la commune de Béchar de la circonscription de Béchar-Djedid. De l’avis général, la mise en service de cette voie de communication contribuera à faciliter le trafic routier extrêmement dense dans les deux sens, entre les deux agglomérations. Considérée comme l’une des plus importantes infrastructures routières réalisées dans la wilaya, la rocade Béchar Est offre désormais la possibilité aux engins de gros tonnage et autres véhicules de passage en direction des wilayas d’Adrar et Tindouf d’éviter d’emprunter les axes routiers du centre-ville de Béchar, quotidiennement congestionnés, rendant ainsi quasi impossible la circulation en milieu urbain. Cette voie de circulation entre Béchar et Tindouf est reliée à la route nationale d’Oran à la sortie nord de la ville, passant à proximité du village agricole de Oukda. Une autorisation de programme d’un montant de 315 000 000 DA a été dégagée pour cette première tranche de cette infrastructure routière qui inclut une deuxième tranche constituée d’une seconde bretelle qui sera construite à l’embouchure de Béchar-Djedid. Confiés à une entreprise locale privée, Prodag 2000, les travaux de la rocade ont démarré au mois de février 2005 et se sont achevés au mois de mai dernier. La délégation de wilaya a procédé également à l’inspection de plusieurs projets socioéconomiques et visité le nouveau siège de la télédiffusion d’Algérie, inauguré au mois de juillet dernier, mais dont les équipements n’ont pas encore été réceptionnés. »


Source : M. Nadjah, El Watan.

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31 décembre 2006 7 31 /12 /décembre /2006 14:58
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31 décembre 2006 7 31 /12 /décembre /2006 14:45

27 novembre 1947 : les troupes sont sur la Place des Chameaux, le vent de sable balaye la poussière, il fait triste, très triste. Le Général Leclerc est attendu, il arrive du Maroc. Pour se guider dans la tempête, le pilote, à faible altitude, suit la voie du Mer Niger, mais au sortir des collines, l'avion s'écrase sur la voie de chemin de fer. Le Général Leclerc et tous les occupants de l'avion sont morts. En ville, à Béchar, la tristesse s'empare de la foule. Quelques années plus tard, les disciplinaires de la Légion Étrangère construiront, en sa mémoire, le Monument Leclerc.

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31 décembre 2006 7 31 /12 /décembre /2006 14:44
Philippe Marie de Hauteclocque, dit Leclerc
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Maréchal Leclerc

Né le 22 novembre 1902 à Belloy-Saint-Léonard dans la Somme, mort près de Colomb-Béchar en 1947, Philippe de Hauteclocque, dit Leclerc, est issu d’une vieille famille aristocratique de tradition militaire.

 

On peut dire que cet homme est très brillant ; en effet il sort de l’École militaire de Saint-Cyr en 1924, de l’École d’Application de la Cavalerie de Saumur en 1925, sert au Maroc où il participe à des opérations de pacification et revient en tant qu’instructeur à Saint-Cyr. Nommé capitaine en 1934, il réussit en 1938 le Concours de l’École de Guerre, dont il sort major en 1935.

 

Capitaine d’état-major à la 4e division au début de la Seconde Guerre mondiale, il combat sur le front belge. En mai 1940, il rejoint les lignes françaises ; capturé par les Allemands, il s’évade et retourne au combat.

 

Le 25 juillet 1940, après avoir quitté la France par l’Espagne, il est l’un des premiers à rejoindre le Général de Gaulle.

 

Tout s’enchaîne : chef d’escadron, il est envoyé en Afrique aux côtés de Claude Hettier de Boislambert et de René Pleven pour gagner l’Afrique équatoriale française au nom de la France libre. Il accomplit cette mission dès fin août 1940.

 

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Insigne de la 2e division blindée

 

Commandant militaire du Tchad, le 1er mars 1941, Leclerc s’empare de l’oasis de Koufra, tenue par les troupes italiennes et fait devant ses hommes le serment de ne déposer les armes que lorsque les couleurs   nationales flotteront sur la cathédrale de Strasbourg.

 

Il participe à toutes les batailles menées dans le Sud tunisien ; nommé général de division en mai 1943, Leclerc est chargé par le Général de Gaulle de former au Maroc la 2e division blindée, composée notamment des tirailleurs sénégalais du Tchad et des chasseurs d’Afrique de Dakar. La 2e division blindée sera en Grande-Bretagne en avril 1944 pour préparer le débarquement en Normandie.

 

1er août 1944 : Leclerc est sur le sol français, il mène sa division jusqu’à Paris, où elle entre triomphalement le 24 août. Le 25 août, il reçoit, avec le colonel des FFI Rol-Tanguy, la reddition du Général von Choltitz, gouverneur militaire de Paris. Puis la 2e division blindée fonce sur la Lorraine : Strasbourg est libérée le 23 novembre 1944.

 

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Philippe Leclerc

 

Quelques temps à Châteauroux, la 2e division blindée participe à la réduction de la poche de Royan. Puis, devant l’insistance de son chef, elle retourne vers l’est et atteint Berchtesgaden le 5 mai 1945.

 

En 1946, Commandant supérieur des forces françaises en Extrême-Orient, Leclerc assiste à la capitulation du Japon. Il rétablit la souveraineté française en Indochine. Il est à l’origine de l’accord du 6 mars 1946 reconnaissant le Viêt Nam comme État indépendant.

 

Farouchement opposé au mouvement nationaliste, il entre en désaccord avec l’amiral Thierry d’Argenlieu et refuse le titre de Haut-Commissaire que lui offre Léon Blum. Il est nommé Inspecteur général des forces françaises d’Afrique du Nord en juillet 1946.

 

Il trouve la mort le 28 novembre 1947 lors d’une tournée d’inspection, dans un accident d’avion près de Colomb-Béchar. Il est inhumé aux Invalides. Il sera élevé à la dignité de Maréchal de France à titre posthume le 7 mai 1952.

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31 décembre 2006 7 31 /12 /décembre /2006 14:35
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31 décembre 2006 7 31 /12 /décembre /2006 14:25

Une très ancienne photo du Ksar de Béchar.

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31 décembre 2006 7 31 /12 /décembre /2006 14:08

Cette église est située entre la Cathédrale et le bureau de la poste. Actuellement, cette structure, complètement détruite, est remplacée par un nouveau bâtiment qui sera le Consulat du Front Polisario.

On voit ci-dessus une partie du nouveau bâtiment qui remplace l'église.

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31 décembre 2006 7 31 /12 /décembre /2006 14:05

Ancien bâtiment d'Air France. Ce bâtiment est actuellement un immeuble d'habitation. On distingue bien, derrière, la Cathédrale.

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