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Grande vallée façonnée par l’Oued portant le même nom, la Saoura est l’une des régions les plus attrayantes du sud algérien. Elle est limitée au Nord par les Monts des Ksour et le Haut Atlas marocain, à l’ouest par la Hamada du Draa, à l’est par les oasis du Tidikelt et au sud par le plateau du Tanezrouft. Un décor fait de paysages lunaires de la Hamada du Guir contrastés à l’autre rive par les splendides dunes dorées du grand Erg Occidental. Entre ces deux ensembles féeriques s’incrustent, tels les joyaux d’un collier, palmeraies et ksour le long du lit des Oueds.

 

  

 

Archives

19 septembre 2010 7 19 /09 /septembre /2010 09:42

Les 843 fellahs recensés au niveau de la plaine d'Abadla verront prochainement, selon la direction de l'Hydraulique de Béchar, la fin des restrictions hydriques suite à la mise en service d'une adduction d'eau en réalisation depuis 2002, à partir de Djorf Torba, dans la daïra de Kenadza. Cet important ouvrage souterrain permettra aux agriculteurs de la plaine d'Abadla, d'irriguer leurs parcelles conformément au plan initié par la direction de l'Hydraulique et de l'Office de l'irrigation d'Abadla. Pour information, les terres agricoles de Manounat, Erg Ferradj et Abadla étaient jusqu'ici alimentées à partir du barrage de Djorf Torba, distant de 56 km par des lâchers d'eau d'un volume de 120.000 m3 mais avec les contraintes naturelles et les évaporations durant ce parcours moins de la moitié de la quantité d'eau seulement parvenait à l'OPI de la plaine d'Abadla. Cette nouvelle adduction dit-on, en plus d'une économie de 115.000 m3, permettra aussi d'éviter les coûts faramineux en matière de traitement de l'eau. Le montant de ce projet financé sur le FSDRS et le programme sectoriel a coûté la bagatelle de 979 millions de DA. Notons enfin la satisfaction affichée par les agriculteurs et les éleveurs de la région suite à l'annonce de la réception du projet.

 

Source: A. Roukbi, Le Quotidien d'Oran.

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16 septembre 2010 4 16 /09 /septembre /2010 17:51

Avec plus de 73 000 élèves, tous cycles confondus, qui ont pris hier le chemin de l’école, un encadrement pédagogique de 3 397 enseignants pour l’ensemble des trois paliers, un taux de scolarisation atteignant 97%, la direction de l’Éducation de Béchar se targue d’avoir réussi «une performance».

Le nombre d’infrastructures scolaires, à travers la wilaya, est de 151 écoles primaires, 48 CEM et 18 lycées. Quatre écoles primaires et cinq lycées en cours de réalisation seront réceptionnés incessamment. Seul le lycée de Kerzaz (400 km au sud de Béchar) connaît, selon une source de l’Education, une surcharge d’élèves originaires d’Ouled Khodeir, une localité voisine qui sera dotée dans les prochains mois d’un lycée en voie d’achèvement, souligne-t-on. Les travaux de réalisation des infrastructures scolaires ont été retardés en raison des grandes chaleurs qui sévissent durant les mois de juillet et août. Néanmoins, le point noir relevé dans la wilaya, à chaque rentrée, demeure la scolarisation des enfants de nomades éparpillés entre les vallées d’Oued Namous, Béni Ounif et près de Tabalbala.

L’internat primaire, qui a ouvert ses portes l’an dernier à Béni Ounif, n’a pas pour autant attiré les enfants de parents nomades toujours en transhumance. Aussi, les déperditions scolaires sont estimées dans le primaire à 0,3%, dans le moyen à 8% et dans le secondaire à 5,7%. Pour cette rentrée, dix nouvelles cantines scolaires ont été réceptionnées et pas moins de 35 000 élèves du primaire bénéficieront de repas chauds, assure-t-on. Il est prévu également la distribution de livres scolaires gratuits à 43 121 élèves pour une enveloppe financière mobilisée de 4 milliards de centimes, une prime de scolarité en faveur de 30 000 élèves et des trousseaux scolaires pour 8 000 élèves nécessiteux.

Mais, cette année, la nouveauté est l’institution d’un contrat dit de performance convenu entre la tutelle et la direction de l’Éducation, qui doit s’appuyer principalement sur les chefs d’établissements scolaires, prenant pour base une évaluation personnalisée  en fonction des résultats par classe d’élèves  enregistrés au cours de l’année scolaire.

 

Source: M. Nadjah, El Watan.

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16 septembre 2010 4 16 /09 /septembre /2010 09:46

Est-ce la fin du calvaire vécu pendant des années par les 843 fellahs recensés dans la plaine d’Abadla ?

En tous les cas, les responsables de l’hydraulique annoncent la fin des restrictions hydriques pour ces agriculteurs jusqu’ici alimentés par d’improbables lâchers d’eau en provenance du barrage de Djorf Torba et soumis aux caprices des aléas climatiques. De ces lâchers d’eau à ciel ouvert d’un volume de 120.000 m3/j, l’Office de l’irrigation d’Abadla chargé de la distribution des ressources hydriques n’en récupérait à la fin que 5000 m3/j à cause des pertes considérables en cours, de l’évaporation, etc.

Outre leurs coûts onéreux en matière de traitement, ces lâchers d’eau présentaient également des risques des MTH (Maladies à Transmission Hydriques). Mais, avec la mise en service incessante de la nouvelle conduite souterraine à partir de la station de pompage de la localité de Kénadsa en direction des agglomérations agricoles d’Abadla, Erg Farradj, Manounate, une économie d‘eau de 115.000 m3/j est assurée, indique-t-on. On souligne au passage que le projet en question en souffrance depuis 2002 a été réactivé au cours de cette année. Son coût global s’élève à 979 millions de DA.

C’est une conduite souterraine de 56 km dont le financement initial était supporté dans un premier temps par le programme du Fonds du Sud ; mais, en raison de l’insuffisance de crédits, fait-on savoir, il a été complété par le programme sectoriel. L’on s’accorde à dire que la nouvelle adduction d’eau va pouvoir ouvrir une nouvelle perspective pour cette région agricole fertile ; les fellahs n’ont jamais hésité à imputer la responsabilité de la faiblesse de leur production agricole au seul et principal facteur de l’eau.                                                  

Source: M. Nadjah, El Watan.
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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 09:48

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Malgré le danger permanent qu’il présente, le marché informel dit de «Tindouf» prend, d’année en année, de l’ampleur et attire de nombreux clients.

Situé en plein centre ville, sur une ruelle étroite longeant l’ancien cimetière de Béchar et jonchée d’étals couverts de toile et autres moyens de fortune. Les visiteurs n’arrivent pas à se frayer un chemin et n’ont d’autre choix que d’emprunter, serrés, au coude à coude, un étroit couloir non sans une multiplication d’incidents. Il faut dire aussi que ce marché a enseveli, sur son passage, l’entrée d’une école primaire malgré les protestations de la direction et des parents d’élèves qui, de guerre lasse, ont abdiqué devant le fait accompli, signale-t-on. «Si au moins ce marché informel présentait, néanmoins, des avantages en matière d’offres de prix sur les chaussures, produits cosmétiques et articles d’habillement aux clients à revenu modeste, on pourrait fermer l’œil.

Par contre, il a la particularité de constituer un risque certain pour la sécurité de ceux qui le fréquentent», selon des avis partagés. Des propositions auraient été faites, il y a une année, par les autorités locales, à ces commerçants enfreignant la loi pour déménager à proximité de Béchar Djédid, mais ces propositions ont été refusées, indique-t-on. «Ces trabendistes défient la puissance publique. Il faut au plus vite les faire déménager vers un autre endroit, sinon, dans un an ou deux, il sera impossible de le faire car ils seront encore plus nombreux qu’aujourd’hui», fait savoir un habitué de ce marché.         

Source: M. Nadjah, El Watan.
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5 septembre 2010 7 05 /09 /septembre /2010 09:51

Un programme d’actions en faveur du renouveau rural, initié par la Conservation des forêts, s’articulant autour de quatre thèmes fédérateurs, est actuellement en cours de réalisation, a-t-on appris.

Les thèmes inscrits se rapportent à des villages et ksour, à la diversification des activités économiques en milieu rural, à la protection et valorisation des ressources naturelles et, enfin, à la protection et valorisation des patrimoines ruraux (matériels et immatériels). Certaines actions sont bien délimitées à travers des territoires entrant dans le cadre de projets de proximité de développement rural intégré (PPDRI). Pour rappel, la wilaya de Béchar a inscrit trente projets PPDRI s’inscrivant dans le cadre du contrat de performance. Parmi ces actions menées, on notera l’acquisition des kits solaires en faveur de la population rurale et nomade. Le nombre de kits réalisé jusqu’ici est de 110 dont ont bénéficié  onze localités réparties à travers les communes d’Abadla, Machrâa Houari Boumédiène, Erg Farradj, Méridja, Béni Ounif, Béchar, Taghit, Béni Abbès et Tabalbala.

D’autres actions sont également menées notamment la réalisation de cinq forages, vingt et un puits et un canal d’irrigation pour la palmeraie de Mougheul sur une longueur de 2000 mètres linéaires. L’objectif du programme, dit-on, la Conservation de la Forêt, est l’amélioration des conditions de vie de la population rurale ciblée en particulier les territoires qui avaient subi les conséquences de l’instabilité et des déplacements des populations nomades durant  la période d‘insécurité des années 1990.                            

Source: M. Nadjah, El Watan.
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28 août 2010 6 28 /08 /août /2010 09:54

La wilaya, qui enregistre un énorme déficit dans le corps médical, avait offert plusieurs avantages aux médecins spécialistes nationaux pour les inciter à s'installer à Béchar.

Pas moins de 88 médecins spécialistes, de nationalité cubaine, dont 25 gynécologues et un réanimateur, sont attendus à Béchar dans les prochains jours, affirme M.Bendjima Boufeldja,  directeur de la Santé et de la Population. La wilaya, qui enregistre un énorme déficit dans ce corps, avait offert plusieurs avantages aux médecins spécialistes nationaux pour les inciter à s'installer à Béchar. Mais ces mesures incitatives n'ont pas permis d'atteindre l'objectif visé. De nombreux  patients sont contraints, quotidiennement, de faire des centaines de kilomètres pour aller à Tlemcen, Oran ou Alger (1000 km) pour une simple consultation médicale, avec tout ce que cela engendre comme désagréments et frais liés notamment aux transports et à l'hébergement.

En ce qui concerne le scanner, qui se trouve en panne depuis plusieurs mois, le DSP souligne que cet appareil, le seul dans la ville de Béchar, a été surexploité, assurant néanmoins que sa mise en marche se fera très bientôt, «la pièce que nous attendions depuis des mois est arrivée d'Allemagne. Il ne reste que plus les procédures administratives au niveau des instances concernées». À noter qu'un deuxième scanner est toujours en service au niveau de l'hôpital de Béni-Abbès, une daïra située à 250 km au sud du chef-lieu de la wilaya de Béchar. Pour M. Bendjima, «Les malades nécessitant un scanner sont transférés par nos propres moyens à Béni-Abbès. Nous n'avons pas de problème dans ce sens».      

Source: A. Boutaleb, El Watan.
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25 août 2010 3 25 /08 /août /2010 21:43

C'est une grande surprise et une joie immense que procure à la population de Mogheul, ces derniers temps, la régénération de la source de cette localité suite à d'importantes précipitations et crues d'oueds enregistrées dans les ksour du nord.

Durant plusieurs mois cette source avait cessé de donner ce fruit du ciel qu'est son eau limpide et minérale. En effet, après la réalisation des forages sur le plateau de cette commune, dans le cadre du projet d'adduction d'eau pour le renforcement de l'alimentation en AEP la ville de Béchar, la principale et unique source destinée à l'irrigation des terres agricoles, s'est tarie subitement.

Ce qui avait donné lieu à toutes sortes de spéculations remettant parfois en cause des résultats probants d'études réalisées par des spécialistes de l'Hydraulique.

Pour palier à cette situation d'urgence, un forage a même été réalisé pour sauvegarder la palmeraie et l'agriculture. Plusieurs commissions relevant du secteur de l'Hydraulique notamment l'ANRH, lors de leurs différents déplacements à Béchar, ont imputé l'origine de la baisse du débit de la source à des écoulements superficiels qui disparaissent en cas d'absence de pluviométrie dans la région, ce que vient de confirmer cette semaine le remplissage des 03 barrages de retenues de la commune. Le niveau statique de la nappe, selon la direction de l'Hydraulique, n'a jamais été affecté par le pompage des eaux en direction de Béchar, confirmant ainsi la solidité des arguments de l'étude initiale du projet d'adduction.

 

Source: A. Roukbi, Le Quotidien d'Oran.

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22 août 2010 7 22 /08 /août /2010 21:22

Plusieurs familles originaires des communes de l'extrême sud du pays, notamment de la wilaya d'Adrar, passent cette année leur vacances à Béchar, à des centaines de kilomètres de leurs lieux de résidence, du fait de la canicule et des grandes chaleurs où le thermomètre a atteint les 49 degrés à l'hombre. Coïncidant avec ce flux de citoyens, un riche programme culturel s'étalant du premier jour du ramadhan au 09 septembre prochain, a été tracé par la maison de la Culture à l'attention des familles bécharies et au bonheur des visiteurs de la ville.

 Décortiqué, le listing de cette manifestation culturelle comprend des conférences sur différents thèmes, des expositions de peintures, des pièces de théâtre pour adultes de l'association «Masques bleus» de Mostaganem, la célèbre troupe Ahellil de Timimoun et des danses populaires de la région.

 Notons enfin, l'organisation par l'association culturelle Achwak, en collaboration avec la commission des affaires sociales et culturelles de l'APW de Béchar, vendredi en fin de soirée au cinéma le municipal, des troisièmes journées du Coran.

 

Source: A. Roukbi, Le Quotidien d'Oran.

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12 août 2010 4 12 /08 /août /2010 19:15

Le P/APC de Béchar a rencontré, hier, dans une séance de travail à laquelle était conviée la presse locale, les représentants des associations des mosquées pour leur annoncer qu'un crédit d'un milliard deux cents millions de centimes vient d'être dégagé par l'APC pour une opération de ravalement et de nettoyage des mosquées à la veille du mois de Ramadhan. Ces représentants ont tenu à insister en particulier sur l'absence de l'éclairage public qui affecte les alentours de certaines des quarante cinq mosquées de la commune et le nettoyage des lieux de prière effectué jusqu'ici par des volontaires. Ils ont demandé aussi l'affectation, pour cette besogne, d'agents permanents issus de la formation professionnelle désignés à travailler au sein de la commune dans le cadre du filet social. Autre préoccupation des associations des mosquées : le raccordement en gaz de ville. Mais la commune semble cibler, en priorité, pour le raccordement en gaz de ville pour la prochaine rentrée scolaire, les 67 écoles primaires qui en sont dépourvues, en attendant l'étude de la proposition des représentants des mosquées.Le responsable du service social a annoncé, au cours de cette séance, qu'une somme de 950 millions de centimes vient d'être dégagée dans le cadre de la solidarité du mois de Ramadhan, somme qui sera répartie entre les restaurants qui seront implantés et qui serviront des repas chauds et les dépenses relatives aux couffins à emporter et pour lesquels 350 millions de centimes ont été consacrés. Cinq points de distribution seront créés en divers endroits de la commune. Pas moins de 3000 cartes d'indigents ont été établies dans la seule commune de Béchar.

Source: M. Nadjah, El Watan.

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31 juillet 2010 6 31 /07 /juillet /2010 18:30

A l'université de Béchar, les préinscriptions des nouveaux étudiants se sont poursuivies tout au long du délai imparti. Le service chargé de cette opération a prévu quelque 3200 nouveaux inscrits pour la prochaine rentrée universitaire qui comptera, au total, 93000 étudiants. Avec la création durant cette rentrée universitaire de 7 nouvelles filières dont les mathématiques et les sciences politiques, le nombre de celles-ci sera porté à 48, l'étudiant aura donc devant lui un large éventail dans le choix des filières et spécialités. L'encadrement technique et pédagogique sera assuré par quelque 465 enseignants.Par ailleurs, la direction de l'université soutient que les places pédagogiques seront largement disponibles pour recevoir ce nombre d'étudiants puisque, fait-elle savoir, le nouveau pôle universitaire en chantier situé sur la route de Lahmar au nord de la ville n'ouvrira pas ses portes aux étudiants pour la prochaine rentrée 2010-2011. Seule sera utilisée la cité universitaire de 2500 lits du nouveau pôle. A noter que l'ouverture de cette cité va entraîner le recrutement de 60 agents.

 

Source: M. Nadjah, El Watan.

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