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Grande vallée façonnée par l’Oued portant le même nom, la Saoura est l’une des régions les plus attrayantes du sud algérien. Elle est limitée au Nord par les Monts des Ksour et le Haut Atlas marocain, à l’ouest par la Hamada du Draa, à l’est par les oasis du Tidikelt et au sud par le plateau du Tanezrouft. Un décor fait de paysages lunaires de la Hamada du Guir contrastés à l’autre rive par les splendides dunes dorées du grand Erg Occidental. Entre ces deux ensembles féeriques s’incrustent, tels les joyaux d’un collier, palmeraies et ksour le long du lit des Oueds.

 

  

 

Archives

4 janvier 2008 5 04 /01 /janvier /2008 16:20

 

Selon le directeur de l’ANDPME de Béchar, plus de 3.000 PME activent à l’échelle de la wilaya de Béchar, plus particulièrement dans les domaines du BTPH et des Transports, parmi elles, 150 nouvellement créées, au cours du 2ème semestre 2007.


 

Agissant sous l’égide du ministère des Petites et Moyennes Entreprises, l’agence nationale de développement (ANDPME) de ce secteur a organisé récemment une journée d’information sur le programme national de mise à niveau, au centre de formation administrative (CFA) de Béchar. Cette rencontre s’est déroulée, en présence des représentants des wilayas respectives de Tindouf, Béchar, Naâma et El-Bayadh.
Le secrétaire général de l’ANDPME a rappelé la mission de cet organisme chargé d’accompagner, sous forme de services, conseils, expertises et formations indispensables, la petite et moyenne entreprise algérienne, pour garantir son développement.
Le directeur de l’ANDPME de Béchar a profité de l’occasion offerte, pour annoncer à la presse, que plus de 3.000 PME activent déjà à l’échelle de la wilaya de Béchar, plus particulièrement dans les domaines du BTPH et des Transports. Et d’ajouter que 150 nouvelles PME ont été créées, au cours du dernier semestre 2007. Quant au président de la Chambre du Commerce et de l’Industrie (CCI) de la wilaya de Béchar, il a chargé le S/G de l’ANDPME de transmettre au ministre de tutelle, les doléances des investisseurs du Sud, en matière d’octroi de crédits à long terme et d’allègement de la fiscalité, notamment le taux de TVA, pour encourager l’investissement dans cette partie du territoire national, et cela, dans le cadre du programme national de mise à niveau.

Source: M. Ahmed, La Voix de l'Oranie.

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31 décembre 2007 1 31 /12 /décembre /2007 16:53
Le football du Sud est-il victime de sa situation géographique ? C'est en tout cas l'impression qui se dégage si l'on tient compte des problèmes dans lesquels les clubs de cette région se débattent. A titre d'exemple, l'US Bechar Djedid, selon son président de section football Missoum Abdelkrim, vit actuellement une situation catastrophique. «Nous gérons l'ingérable. Nous n'avons que notre courage et notre volonté pour éviter à ce club le forfait et la déperdition de ces jeunes qui, en dépit du manque de moyens, ont montré qu'ils n'ont rien à envier aux joueurs d'autres équipes mieux nanties à tous points de vue», commence-t-il par dire.

Afin d'étayer cette affirmation, notre interlocuteur nous a fait savoir que le championnat des jeunes à Bechar n'a pas encore démarré. Au sein de l'équipe de Bechar Djedid, on tente, contre vents et marées, de tenir le coup dans le championnat «Inter-régions Ouest» où le club se contenterait du maintien. Dans ce registre, les responsables ont été unanimes pour reconnaître le travail effectué par l'ex-coach Cherifi Abdelkader que l'on n'a pas pu maintenir à son poste en raison du manque de moyens financiers et qui a été suppléé par un ancien joueur, Djilali Louafi pour le reste du championnat. D'après les dirigeants de l'USBD, cet objectif relatif au maintien n'est guère une tâche aisée. Pourquoi ? «Sincèrement, nous disposons d'un groupe capable d'assurer le maintien, mais nous sommes confrontés à un problème crucial, à savoir que nous sommes lésés par l'arbitrage. Comment peut-on travailler avec ces conditions que je qualifie de lamentables. Nous demandons à certains arbitres, qui nous ont carrément «détruits» à Bechar même, de nous considérer seulement à notre juste valeur», nous a affirmé Missoum Abdelkrim.

Ce dernier déplore également le manque de finances, ce qui les empêche de faire face aux nombreuses charges du club. A titre d'exemple, selon ce même responsable, un seul déplacement coûte un minimum de 10 millions de centimes et où les joueurs passent dans la plupart du temps la nuitée dans des auberges sans aucun confort. «Exceptés les 240 millions de centimes émanant de l'APC et du Fonds de Wilaya, nous n'avons reçu aucun centime pour cette nouvelle saison. A propos de transport, il y a un seul bus pour quatre clubs de Bechar, l'ESB, l'USBD, la JSB et le MC Debdeb», conclura-t-il. Dommage, c'est le moins que l'on puisse dire pour cette sympathique formation du quartier populaire de Bechar Djedid qui recèle en son sein de bonnes individualités qui méritent une meilleure prise en charge par les autorités concernées.
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31 décembre 2007 1 31 /12 /décembre /2007 16:48
Pas moins de 1.000 logements sociaux seront distribués dans les 4 prochains mois de l'année 2008, dans la wilaya de Béchar; 500 logements sociaux uniquement pour le chef-lieu, a indiqué le wali Azedine Mecheri à l'occasion du forum de la radio de Béchar, organisé chaque vendredi.

Le 1er responsable de la wilaya s'est engagé pour que l'opération de distribution des logements se déroulera dans la transparence totale et le respect des lois en vigueur.

Ce qu'il y a de nouveau dans cette wilaya est l'opération de lutte contre l'habitat précaire pour laquelle un projet de construction de 500 logements a été inscrite. Les travaux seront lancés ces jours-ci, après finalisation des procédures administratives.

Ceci va permettre d'améliorer les conditions d'habitat d'une tranche de la population recensée dans le cadre de l'élimination de l'habitat précaire. Pour le logement rural, toutes les communes de la wilaya ont bénéficié des quotas. La grande opération, dans cet axe d'habitat rural, a été enregistrée dans la cité Elzerigatte, où 840 familles ont bénéficié d'un logement rural. Un montant de 42 milliards de centimes a été réservé par l'Etat pour que chaque bénéficiaire ait droit à 50 millions centimes pour reconstruire son habitation. Les habitants de cette cité ont commencé à reprendre la construction de leurs habitations selon les cahiers des charges fixés par l'Etat. L'ancien quartier, qui était en état de démolition se transforme, aujourd'hui, grâce à l'effort de l'Etat, en un nouveau quartier avec un nouveau look. Une opération très appréciée par cette population et qui a permis la création d'emplois dans un quartier jugé pauvre.

Il est à noter qu'une nouvelle dynamique de développement local est observée dans la wilaya de Béchar où de grands projets sont lancés à travers toutes les communes et daïras de la wilaya.


Source: S. Bentouba, Le Quotidien d'Oran.
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30 décembre 2007 7 30 /12 /décembre /2007 11:09

M. Dahane Djelloul, président de l’association «Sanabil Laâouadj», au sein de laquelle activent des agriculteurs exploitant les terres de Ârch O/Sid Cheikh, à 2 km de Béni-Ounif, s’est rapproché de la Voix de l’Oranie, pour déplorer l’état d’abandon d’une retenue d’eau ayant coûté pas moins de 8,5 milliards de cts aux caisses de l’Etat.


Cet ouvrage hydraulique devait être construit, rappelle-t-il, en l’espace de 8 mois. Selon M. Dahane Djelloul, notre interlocuteur au sein de cette association, l’entrepreneur chargé de la réalisation de cette retenue collinaire, a seulement posé le béton dit de «propreté» et a levé les voiles, en abandonnant le projet depuis bientôt 8 mois, après avoir emporté son matériel sans espoir de retour et non sans avoir encaissé 8,5 milliards de cts. Le suivi de cette opération, ajoutera-t-il, devait être assuré par le H.D.S de Djelfa. Ces terres ârouch, selon notre interlocuteur, sont pourtant réputées rentables, surtout en saisons pluvieuses, où elles arrivent à donner un rendement de 100 quintaux d’orge ou de blé à l’hectare. Il en est de même dans la culture des pastèques, des melons et des petits pois. Cette retenue d’eau aurait pu servir en fin de saison de pluies, mais...», s’est-il interrompu à bout d’arguments. C’est ce qui incite cette association à demander au wali de Bechar, de diligenter une enquête sur cette affaire, qui relève de l’arnaque et pour déterminer qui a pu valider le «service fait» pour une telle escroquerie commise au détriment du développement de l’agriculture dans la région.

 

Source : M. Ahmed, La Voix de l'Oranie.

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30 décembre 2007 7 30 /12 /décembre /2007 11:05
La petite localité de Rosfa Taïba, relevant de la commune de Béni-Ounif, vient de bénéficier d’une enveloppe de l’ordre de 1 milliard de centimes, destinée à l’aménagement du cadre urbain, ainsi que d’une ambulance tout terrain.

La localité de Rosfa Taïba serait pour ainsi dire, coupée de toute communication, n’était-ce l’existence du chemin de wilaya la rattachant à la RN06. Le téléphone en effet s’y est inscrit aux... abonnés absents et supplanté par un poste VSAT (via satellite), installé au niveau de l’antenne administrative. La salle de soins dispose, pour tout personnel, d’un infirmier polyvalent, puisqu’il cumule sa fonction avec celle de chauffeur d’ambulance. L’école aussi n’échappe pas au cumul des fonctions, puisque le seul instituteur possède la double casquette de chargé d’école et d’enseignant dans une classe unique affichant pas moins de six niveaux différents. Soucieux d’améliorer le cadre de vie des jeunes de cette localité, le chef de l’Exécutif de la wilaya, M. Mecheri Azzeddine, leur a laissé le choix entre s’organiser en coopérative d’élevage de poulets de chair ou de se faire construire 10 locaux commerciaux. Proposition qui n’a guère enchanté les vieux de cette localité, s’exprimant à la place des autres, puisqu’ils ont décliné ces offres et demandé seulement des emplois, dans le cadre de l’emploi des jeunes. Mais le wali s’en est tenu à ses premières suggestions, qui ont le mérite d’être durables et génératrices de richesse et d’emplois.

Source : M. Ahmed, La Voix de l'Oranie.

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30 décembre 2007 7 30 /12 /décembre /2007 11:00

Les habitants de Ksar Fendi, relevant de la daïra de Béni-Ounif, ont soumis parmi leurs doléances exposées au wali de Bechar, M. Mécheri Azzeddine, qui était leur hôte récemment, la difficulté de scolariser leurs enfants.

Il faut dire que Ksar Fendi avait, comme toute localité qui se respecte, sa petite école. Hélas, pour des raisons sécuritaires, semble-t-il, cette école a été transformée en casernement de la garde communale, et ce, depuis 1999.
 
Date à partir de laquelle, les familles du ksar envoient leurs écoliers vivre chez des proches à Béni-Ounif, 60 km plus loin, pour y poursuivre leur scolarité.

 
En réponse, le chef de l’Exécutif de la wilaya a justifié l’impossibilité de répondre à leurs vœux, compte tenu de la faible population en âge d’être scolarisée localement.
 
Cependant, il leur a promis de discuter du problème avec le directeur de l’Education, pour trouver un compromis dans un proche avenir. La seconde doléance avait trait à l’absence d’une salle de soins et pour laquelle le wali a décidé d’aménager et équiper un espace prévu à cet effet, au niveau de l’antenne administrative. Il en a profité pour instruire le DSP de la wilaya d’affecter un infirmier en permanence aux soins d’urgence, notamment ceux nécessités par les piqûres de scorpions et autres serpents venimeux.
 
Dans le même sillage, il a aussi affecté à Ksar Fendi une ambulance tout terrain, sur les 23 que vient d’acquérir récemment la DSP pour desservir les localités reculées.
 
Pour ce qui est de la réfection du chemin de wilaya, qui rattache cette localité à la RN06, le wali a ordonné aux services concernés de colmater les nids de poule, en attendant la rénovation de cette route, à inscrire en priorité dans le programme de rattrapage 2008. Enfin, une enveloppe de 01 million de dinars a été allouée à la construction d’un mur d’enceinte pour le cimetière des Chouhada, tombés lors de l’insurrection historique de Sidi Cheikh Bouamama.
 

Source : M. Ahmed, La Voix de l'Oranie.

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16 décembre 2007 7 16 /12 /décembre /2007 10:06

Placée sous le patronage du premier responsable de la wilaya, la phase régionale du cross scolaire s?est déroulée ce week-end à Béchar.

 
Cette manifestation sportive a regroupé 214 athlètes, dont 103 filles, représentant 8 wilayas sur un ensemble de 10, selon le découpage administratif. Tindouf et Sidi Bel Abbès manquaient à l'appel. Les potaches en lice, qui disputaient une qualification de la phase nationale, ont foulé tôt le matin le parcours situé à quelques encablures du nord de la ville. Les autorités locales étaient sur les lieux de la compétition, mais avant le départ de la première course, tous les présents ont observé une minute de recueillement à la mémoire des victimes des deux derniers attentats perpétrés à Alger, le 11 décembre. En apparence, le niveau technique est jugé acceptable par les observateurs, avec néanmoins une nette domination des athlètes de trois wilayas : Béchar, Tlemcen et Mascara. Des cadeaux ont été distribués aux trois premiers de chaque course ainsi qu'aux trois équipes classées premières. A signaler le dévouement des organisateurs qui ont démontré une maîtrise dans le déroulement de la compétition.

Source : B. Larbi, El Watan.

 

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12 décembre 2007 3 12 /12 /décembre /2007 17:53

 

La direction de la Santé et de la Population (DSP) de la wilaya de Béchar vient d’acquérir une nouvelle dotation d’équipements médico chirurgicaux pour l’hôpital des 240 lits de la capitale de la Saoura.
L’acquisition de ces équipements médico chirurgicaux entre, selon nos sources, dans le cadre du développement des activités médico chirurgicales et des explorations fonctionnelles par l’introduction de techniques récentes.


 

C’est ainsi que le service de chirurgie orthopédique vient de se doter d’un arthroscope, c’est-à-dire un appareil permettant l’examen endoscopique d’une cavité articulaire. Quant au service d’urologie, il a été doté d’une colonne de scotopie, alors que celui de la gastrologie a hérité d’une colonne d’endoscopie. Enfin, le service d’ophtalmologie aura un laser, un microscope et un phacomètre, ce dernier servant à déterminer par lecture directe le nombre de dioptries d’un verre de lunettes de vue.

Source : M. Ahmed, La Voix de l'Oranie.

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9 décembre 2007 7 09 /12 /décembre /2007 17:12

Le nouvel institut de formation professionnelle a abrité, en fin de semaine dernière, une rencontre régionale ayant regroupé le représentant du Fonds National de Développement de l'Apprentissage et de la Formation Continue (FNAC) et ses partenaires.

 
Ces derniers sont présents à travers la participation des entreprises et artisans à l'effort de formation professionnelle de jeunes apprentis et qui sont accompagnés et soutenus financièrement par le Fonds. En présence du directeur général du FNAC et des représentants de l'administration des impôts et des finances, il a été question de donner une nouvelle impulsion à la stratégie en matière de formation professionnelle, qui n'a pas donné jusqu'ici les résultats escomptés. Les participants ont tenté d'examiner et de proposer des solutions aux problèmes entravant le fonctionnement de l'entreprise, cible du FNAC, dans sa volonté de former des jeunes apprentis. « Pourquoi certaines entreprises sont-elles réticentes à recruter et à former des jeunes apprentis et à bénéficier des avantages, notamment fiscaux édictés par la loi ? », s'est-on interrogé. Est-ce en raison des surcoûts et autres charges lourdes pesant sur l'entreprise ? L'on saura à travers l'intervention du DG du FNAC que certains opérateurs économiques préfèrent s'acquitter de la taxe de 2% de la masse salariale plutôt que de prendre en charge la formation de jeunes stagiaires. Taxe à laquelle échappe, dira l'intervenant, plusieurs entreprises et qui sera imposée à celles rechignant à participer à l'effort de formation professionnelle des jeunes. Dans sa démarche globale, le FNAC, note son représentant, accompagne aussi le financement de plusieurs branches d'activités économiques, comme l'agriculture, le bâtiment, l'industrie et l'artisanat. Le Fonds peut également venir en aide à toute entreprise en difficulté financière pour payer ses salariés si elle s'engage à prendre en charge plus de deux apprentis. Selon le président de la chambre régionale de Commerce, un cahier des charges est indispensable entre les centres de formation professionnelle et les moyennes et petites entreprises dans le Sud et définissant les besoins réels en main d'oeuvre spécialisée. Il a ajouté que le Sud accuse un retard considérable dans le taux de croissance économique nationale. Le système de sécurité sociale en vigueur est pointé du doigt par le président de la chambre de Commerce car ne permettant pas, selon lui, de développer et d'inciter la politique d'emploi. Les coûts de la sécurité sociale sont trop élevés pour être couverts par les entreprises, déclare-t-il. Dans sa conclusion, il a interpellé les autorités centrales à dégager une partie du budget de l'emploi pour la consacrer à la formation et au recyclage de la main d'oeuvre locale.

Source : M. Nadjah, El Watan.

 

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6 décembre 2007 4 06 /12 /décembre /2007 17:19
Le palais de justice de Béchar a abrité, hier, une journée régionale d’information sur l’accès des personnes vulnérables à la justice et des femmes à l’information juridique.  Cette manifestation, organisée par le ministère de la Justice avec la collaboration du Pnud, a connu une grande affluence composée essentiellement de représentants de la société civile, des magistrats, des avocats et des journalistes.  Selon les organisateurs de cette journée d’information, cette manifestation vise la facilitation de l’accès de ces catégories de personnes à la justice.  Le programme de cette rencontre comporte des visites, des expositions, la présentation d’un CD interactif pour les non-voyants et les sourds-muets, une projection d’un reportage sur les réalisations au niveau d’un site-pilote (cour et tribunaux d’Oran) et la lecture du projet de recommandations.  Pour ce qui est de l’accès à la justice pour les personnes vulnérables, cette institution juridique prévoit l’ouverture d’un guichet d’orientation, l’aménagement d‘une unité de soins d’urgence et d’espaces d’accueil et d’attente, la réservation de places de parking pour les handicapés et des rangs d’accès pour fauteuils roulants, la mise en place d’équipements pour la transcription en braille des jugements et arrêtés et l’organisation d’émissions radiophoniques. Toutes ces actions visent la mise en place de conditions d’accueil spécifiques et l’amélioration des conditions de prise en charge des handicapés. Le deuxième projet réservé aux femmes a pour objectif d’opérationnaliser un service d’orientation-pilote, pour informer les femmes sur leurs droits, d’élaborer des outils de vulgarisation de l’information juridique et des émissions radio-pilote informant les femmes sur leurs droits, en s’appuyant sur un partenariat avec les organisations de la société civile compétentes.  Au cours de cette journée d’information et de sensibilisation, tous les participants que nous avons abordés ont reconnu que le département de M. Belaïz connaît une véritable révolution qui a pour objectif de moderniser le secteur de la justice et de rapprocher le citoyen de cette institution. 


Source : R. Rachid, Liberté.
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