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Grande vallée façonnée par l’Oued portant le même nom, la Saoura est l’une des régions les plus attrayantes du sud algérien. Elle est limitée au Nord par les Monts des Ksour et le Haut Atlas marocain, à l’ouest par la Hamada du Draa, à l’est par les oasis du Tidikelt et au sud par le plateau du Tanezrouft. Un décor fait de paysages lunaires de la Hamada du Guir contrastés à l’autre rive par les splendides dunes dorées du grand Erg Occidental. Entre ces deux ensembles féeriques s’incrustent, tels les joyaux d’un collier, palmeraies et ksour le long du lit des Oueds.

 

  

 

Archives

19 décembre 2013 4 19 /12 /décembre /2013 14:05

Comme prévu, c’est tard dans la soirée de mardi que le technicien français, Alain Michel, pressenti pour prendre en main la barre technique de la JS Saoura, a rallié la ville de Béchar.

L’ex-coach du MC Alger, du MC Oran et de la JSM Béjaïa a d’ailleurs entamé les négociations hier avec les responsables de la JSS, notamment le président Mohamed Djebbar, en vue de trouver un terrain d’entente pour que le Français puisse succéder à Ali Mechiche, démis de ses fonctions il y a deux semaines suite au revers concédé en Coupe face au CSC, le quatrième de suite toutes compétitions confondues.

 
 

Il est à noter que l’un des points qui sera débattu entre Alain Michel et les responsables de la JS Saoura, lequel constitue le point de discorde, a trait à la composante de la barre technique puisque le technicien français avait émis le vœu d’avoir sous sa coupe Kamel Achouri comme adjoint et Mourad Benameur comme entraîneur des gardiens. Une proposition que les Sudistes avaient, dans un premier temps, rejeté… Attendons l’issue de ce second round des négociations, entamé hier, pour connaître l’issue.
 

Source: Tarek Aït Sellamet, El Watan.
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19 décembre 2013 4 19 /12 /décembre /2013 13:53

Cible de nombreuses critiques quant à leur gestion, les structures sanitaires de la wilaya vont être renforcées par un train de mesures pratiques annoncées, visant à la réhabilitation et à l’amélioration de la qualité de l’hospitalisation.

C’est ce que vient d’indiquer le premier responsable de la direction de la Santé et de la Population de la wilaya, en présence des gestionnaires des sept EPSP,  quatre EPH de la wilaya et des cadres de l’administration. Il a en même temps dévoilé la nature des mesures arrêtées qui seront mises en œuvre incessamment pour une réelle prise en charge des patients dès le franchissement du seuil des hôpitaux, a-t-il fait savoir. Ces mesures consistent d’abord en l’amélioration du bureau  d’accueil qui sera désormais du ressort d’un agent paramédical qui tiendra aussi la tenue des registres de consultations, de soins côtés, paraphés et contrôlés.

Ensuite, l’affichage des listes de gardes des médecins, la régulation des visiteurs pour éviter la perturbation des travailleurs du secteur seront organisées. La problématique de l’hygiène des hôpitaux, souvent décriée, est l’une des préoccupations qui sera confiée à une société spécialisée et les déchets hospitaliers seront incinérés et un incinérateur dit banaliseur homologué va être installé. La prise en charge du malade hospitalisé touchera aussi la couverture en matière de literie et la qualité des repas servis. La disponibilité du médicament livré par la pharmacie de l’hôpital, autre sujet d’inquiétude, fera l’objet d’un contrôle permanent pour éviter les éventuelles ruptures dans les structures médicales publiques.

Dans la foulée, la direction de la Santé annonce la pose, vers le 15 janvier 2014, de la première pierre du chantier du CHU à Béchar tant attendu. Mais en attendant la concrétisation du projet, l’hôpital Tourabi Boujemaa «240 Lits» a été désigné pour servir provisoirement de CHU et va devoir abriter, dans un premier temps, 23 spécialités retenues. On annonce que la formation des spécialistes sera au centre des soucis puisque, fait-on savoir, les pathologies en déficit depuis longtemps dans les structures sanitaires de la wilaya et les plus ciblées sont la cancérologie et la chirurgie infantile.

Dans cette panoplie de mesures visant le redressement des hôpitaux, il est également annoncé le jumelage des hôpitaux du Nord avec celui de Béchar. Aussi, les actions de bénévolat humanitaire engagées jusqu’ici une fois par an, en faveur des populations du Sud démunies, par des équipes médico-chirurgicales, des spécialistes en provenance du Nord, se feront dorénavant dans un cadre organisé et réglementé par le ministère de la Santé.                                        

Source: M. Nadjah, El Watan.
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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 14:00

L’unique laiterie d’Igli (170 km au sud de Béchar) dans la wilaya, relevant du groupe agroalimentaire public Giplait, est, depuis des années, en quête de renouvellement de ses équipements vétustes en vain.

L’usine, qui a été inaugurée en 1986, fait face aujourd’hui, selon ses travailleurs, à des problèmes internes de production et peine à assurer les besoins sans cesse croissants en matière de lait en sachet de la population de la wilaya, frôlant les 250 000 habitants. Avec une production ne dépassant guère les 55 000 litres/ jour et employant 103 travailleurs dont 28 en contrat de travail aidé (CTA), l’usine continue pourtant et péniblement à couvrir les wilayas d’Adrar, de Tindouf et prioritairement Béchar.

Sa capacité productive limitée est néanmoins complétée par les producteurs des villes du Nord. Les pannes récurrentes de l’unité se répercutent souvent sur le marché local, privant ainsi le salarié à revenu modeste à consommer la denrée alimentaire subventionnée par l’Etat à 25 DA. Mais la crise du lait atteint un point culminant et se manifeste au grand jour en particulier durant le mois sacré de Ramadhan. Malgré l’effort déployé, assure-t-on, par sa direction d’accroître sa capacité de production en période de jeûne se situant entre 70 000 et 80 000 litres/jour, il n’en demeure pas moins que la pénurie persiste et reste centrée autour de la problématique essentielle de cette situation liée à la vieillesse de ses équipements désuets.

Ne pouvant plus supporter cet état de chose anachronique, les travailleurs de cette unité laitière réclament l’acquisition de nouveaux matériels pour pouvoir se lancer, disent-ils, dans la fabrication des dérivés du lait (fromage, yaourt), ce qui permettra à l’usine de renflouer sa caisse déficitaire, de renforcer, rentabiliser et surtout diversifier sa production qualitative qui pourrait être livrée  à la concurrence au lieu de rester autocentrée sur une unique gamme de production : le lait en sachet dont la commercialisation ne peut plus assurer les salaires de 103 travailleurs. La direction refuse cependant de procéder à des licenciements pour cause de déficit, clame-t-on.

Un dossier qui plaide en faveur de l’amélioration des conditions de vie des employés qui ne peut se matérialiser que par l’achat de nouveaux équipements a été remis, nous dit-on, au Premier ministre lors de sa visite officielle dans la wilaya au mois de mars dernier.                                 
 

Source: M. Nadjah, El Watan.
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16 décembre 2013 1 16 /12 /décembre /2013 14:03

Le département régional de la météorologie du sud-ouest se rapproche des étudiants de l’université de Béchar en organisant à leur intention une journée d’étude sur l’important rôle, souvent occulté, de la météorologie dans les activités économiques et sociales du pays.

L’approche développée par ce département viserait à démontrer que le rôle de la météo ne s’arrête pas uniquement à élaborer des bulletins prévisionnels du temps. Il a aussi une mission de contribution scientifique, selon les animateurs de cette journée d’étude, dans divers domaines, notamment dans celui de l’habitat, son dimensionnement et orientations des édifices. Ce service intervient également dans le domaine de l’hydraulique en évaluant la quantité de pluie recueillie dans une région donnée. Les intervenants spécialistes des universités de Béchar et d’Alger ont tous convergé sur cette importante participation aux différents secteurs économiques tels l’agriculture, les travaux publics, l’habitat et l’environnement, etc.             

Source: M. Nadjah, El Watan.
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14 décembre 2013 6 14 /12 /décembre /2013 14:06

Les habitants de Boukaïs, une petite agglomération de 1 600 habitants, située à une soixante de kilomètres au nord du chef-lieu de wilaya, réclament la réfection de la route reliant leur localité à Lahmar, chef-lieu de daïra, sur une distance de 22 km.

Ce tronçon, en constante dégradation, réalisé dans les années 1970, est devenu impraticable au trafic routier. Les habitants énumèrent les cas d’accidents mortels qui surviennent chaque mois sur ce tronçon dangereux pour en justifier cette demande. Par ailleurs, la petite localité frontalière entièrement enclavée au sud-ouest réclame aussi la présence permanente d’un médecin et d’un infirmier au sein de la nouvelle salle de soins et une ambulance pour les patients à évacuer en urgence vers Béchar ou Lahmar. Elle est aussi dépourvue de gaz de ville et ses habitants ressentent fortement cette frustration, en particulier durant la période de l’hiver glacial dans cette région.

Les représentants de la population ajoutent le transport scolaire des enfants qui étudient à Lahmar en régime d’internat et qui n’est pas assuré au quotidien entre les deux localités. Néanmoins, l’unique satisfaction de la population locale  demeure, souligne-t-on, l’équilibre entre la demande et l’offre de logements sociaux. Trente logements sociaux sont en voie de finition alors que les services de la daïra de Lahmar dont relève la localité n’ont enregistré qu’une trentaine de logements en instance. Aussi, quarante-deux logements ruraux ont été distribués en 2013.                                     
 

Source: M. Nadjah, El Watan.
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12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 14:11

Le Centre de calculs de l’Office national de météorologie (ONM), en cours d’équipement, sera mis en service en 2014, a-t-on appris, hier à Béchar, auprès du directeur du Centre national des prévisions météorologiques.

Le Centre, localisé à Alger, dédié aux calculs météorologiques, grâce à un équipement informatique ultramoderne, a été réalisé dans le cadre du plan de développement des capacités scientifiques et techniques du service météorologique national, a précisé Bachir Hammadèche, lors d’une journée d’information sur la météorologie. Réalisé dans le but de permettre au pays d’atteindre le niveau de qualité requis en matière de service public, le Centre permettra le développement des capacités de prévisions météorologiques numériques et renforcera les systèmes de veille météorologique, a-t-il souligné.

 
 

Actuellement, l’ONM, à travers ses 77 stations d’observation en surface,12  stations d’observation en altitude, 3 autres structures consacrées à la recherche et aux observations spéciales à Tiaret, Ksar Chellala et Tamanrasset, en plus de 5 radars météorologiques et plus de 400 postes climatologiques, fournit régulièrement des données météorologiques à différents secteurs économiques et instituts de recherche, ainsi qu’à différentes universités du pays, a-t-on fait savoir lors de cette rencontre. En matière de lutte antiacridienne, le service météorologique national dispose d’un centre régional de surveillance météorologique à Tamanrasset,  avec 40 stations de surveillance localisées dans cette wilaya du sud du pays et 80 autres éparpillées à travers le territoire national, a fait savoir M. Hammadèche. La journée d’information sur la météorologie, initiée par l’ONM, a permis au public de s’imprégner de ses missions quotidiennes, à travers un cycle de communications animé par des experts.

 

Source: El Watan.

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 14:13

Niché au pied des dunes de sable et surplombant la magnifique palmeraie de oued Saoura, Bayada, un petit hameau de 800 habitants, un des 11 ksour de la daïra d’El Ouata située à 350 km au sud de Béchar, est dépourvu de structures nécessaires indispensables à la vie.

Le chemin menant au hameau de Bayada traversé par l’oued Saoura est cahoteux et de difficile accès, aggravé par l’inexistence d’un pont pour effectuer la traversée. Ses habitants souffrent également de l’absence de transport pour regagner la localité voisine, Agdal (1 500 habitants) située à 4 km de là. La première revendication soulevée par les petits agriculteurs de Bayada à la délégation de wilaya, qui poursuit ses contacts et visites dans les ksour, est l’électrification agricole. Ordre a été donné pour que celle-ci soit incessamment ramenée à Bayada sur une distance de 8 km et la promesse leur a été faite par le directeur des services agricoles pour permettre l’exploitation des petites parcelles agricoles.

A Timoudi, la population locale peut enfin goûter au pain de boulangerie dont elle était jusqu’ici privée grâce à un financement piloté par la CNAC de Béchar. Mais la nature des doléances et réclamations avancées par les populations de ksour visités reste presque identique à l’ensemble de ces  villageois : réhabilitation des chemins pour briser l’isolement dans lequel ils sont confinés, transport scolaire, construction de logements ruraux, électrification agricole, salles de soins et présence réclamée de médecins permanents, construction de ponts pour traverser l’oued, châteaux d’eau potable pour l’alimentation des villageois, construction de maisons de jeunes, emploi, etc.                                                                                                                                     

Source: M. Nadjah, El Watan.
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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 14:14

Après plus de 5 années d’attente, de promesses et de reports de dates de son ouverture, la rotative de Béchar a, enfin, tiré les premiers titres de la presse nationale à la grande satisfaction des lecteurs et lectrices de la région qui n’auront plus désormais à attendre jusqu’à la mi-journée l’arrivée des quotidiens acheminés par voie terrestre.

M. Abdelkader Messahel, ministre de la Communication, a tenu à assister à l’événement. Sept titres de la presse nationale sortent, pour l’instant, de l’imprimerie en attendant que les patrons des autres éditions se manifestent pour prendre contact avec le responsable de l’imprimerie et engager la procédure nécessaire pour le tirage de leurs titres respectifs.
La rotative, qui a une capacité de tirage de 35 000 exemplaires/ heure, va couvrir aussi les régions de Nâama, El Bayad, Adrar et Tindouf.  Elle va également imprimer des manuels scolaires et livres scientifiques et culturels à hauteur de 20 000 livres.

En matière d’emplois directs, elle prévoit, notamment, de recruter, dans sa deuxième phase d’exploitation, un nombre de 59 agents. Mais dans ce domaine précis, un député et un sénateur ont interpellé le ministre sur le recrutement jugé abusif d’un magasinier et d’un gardien non originaires de la région alors que la priorité, ont rappelé les deux élus nationaux au représentant de l’Etat, devrait être accordée aux ouvriers locaux en application de l’instruction du Premier ministre lors de sa visite le 13 avril dernier à Béchar.

Mais le ministre, voulant éviter de polémiquer sur le sujet, a simplement indiqué que cinq agents recrutés et affectés au service du gardiennage sont originaires de la région et le sixième natif d’une région du Nord, disposant d’un capital d’expérience qui le prédispose à cette mission sensible de veiller sur la structure de journaux. Le ministre a incité, à travers les ondes, les jeunes à s’organiser pour créer, dans le cadre du dispositif de l’Ansej, des entreprises de distribution de titres de la presse nationale.                     
 

Source: M. Nadjah, El Watan.
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5 décembre 2013 4 05 /12 /décembre /2013 14:16

Au moment où se tiennent les assises nationales sur le transport, la chambre du commerce et d’industrie Saoura s’implique dans le choix du mode de transport approprié pour l’agglomération en pleine expansion de Béchar.

Dans une lettre adressée au ministère des Transports, dont nous détenons une copie, le directeur de cette organisation dresse un plaidoyer en faveur du mode de transport dit Bus à Haut Niveau de Service (BHNS), un concept nord-américain d’exploitation de lignes de transports urbaines. Ce type de transport permet d’atteindre un service proche de ce que peuvent offrir d’autres systèmes de transport en commun, notamment le tramway avec un coût au kilomètre moins élevé, affirme la direction de la chambre du commerce et d’industrie.

En perspective du projet de tramway de Béchar dont l’étude est en voie d’achèvement, l’intervention de la chambre du commerce en faveur du BHNS est aussi dictée par la nécessité d’éviter de commettre les mêmes erreurs constatées et induites par l’option du tramway en service actuellement dans les grandes agglomérations urbaines du Nord, souligne la lettre. Sur le plan des avantages, la direction de la chambre du commerce indique que l’aménagement d’une ligne de bus en site propre intégrale nécessite un investissement moins coûteux que la construction d’une ligne ferrée avec la possibilité des réaménagements souples qui conviendraient à la capitale de la Saoura.  C’est un choix crucial, poursuit le défenseur de ce type de transport qui conjugue à la fois la vitesse commerciale, confort et coût financier.

Enfin, dans cette démarche lancée dans le but d’attirer l’attention du ministère des Transports, il est souligné que le projet proposé aura un impact positif sur l’environnement (énergie, gaz et électricité) et sur la vie économique et sociale, contrairement au tramway en exploitation dans les grandes villes et qui s’est distingué jusqu’ici par le rétrécissement des avenues, des rues piétonnes saturées, causant des difficultés de circulation de véhicules, incidences économiques causées par de longs travaux et des perturbations que connaissent la quasi-totalité des commerces, générant des manques à gagner.                                   
 

M. Nadjah
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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 14:17

50 dossiers concernant le bâtiment, travaux publics et habitat (BTPH), 10 dossiers relatifs l’industrie et les industries diverses, 13 relatifs aux différentes catégories de transport, les prestations de service et 2 dossiers concernant le tourisme ont été déposés et agréés au niveau de l’Agence nationale de développement et de l’investissement (ANDI) depuis son ouverture en juillet 2011,  a-t-on appris hier au cours de l’exposition «Portes ouvertes» organisée par cette agence.

L’initiative a pour but,  indique son directeur, de permettre aux visiteurs de prendre connaissance, grâce aux dépliants et prospectus exposés sur des tables, des mesures fiscales incitatives et attractives en faveur des investisseurs. Ces portes ouvertes visent aussi à informer sur les différentes étapes du processus de l’investissement.
Dans la concrétisation de cet objectif, les représentants de différentes administrations concernées et regroupées au sein du guichet unique de l’agence sont présents et disponibles pour donner les informations nécessaires et indispensables non seulement sur toute opération liée à l’investissement mais également, souligne-t-on, sur les orientations ou tout obstacle rencontré au cours de la procédure administrative par un  promoteur détenteur  de tout projet économique.                                   

Source: M. Nadjah, El Watan.
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